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[DOSSIER] Le New York City Ballet aux Étés de la Danse

Après huit ans d’absence, le New York City Ballet est de retour à Paris. La troupe donne trois semaines de spectacles au Théâtre du Châtelet du 28 juin au 16 juillet, invitée par Les Étés de la Danse. Le NYCB amène dans ses bagages de très nombreux ballets de George Balanchine, aussi une toute nouvelle génération d’Étoiles brillantes. L’occasion de se pencher un peu plus sur cette troupe emblématique de la danse américaine.

Le New York City Ballet aux Étés de la Danse

Le New York City Ballet aux Étés de la Danse

Diaporama – Retour sur la tournée du New York City Ballet aux Étés de la Danse

Le New York City Ballet a achevé ses trois semaines de représentations au Théâtre du Châtelet, dans le cadre des Étés de la Danse. Sur 20 représentations, la compagnie a proposé cinq programmes différents ainsi qu’un gala, permettant de voir 20 ballets, dont 14 de George Balanchine. Retrouvez en images les meilleurs moments de ces représentations.

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Chronique – Le New York City Ballet aux Étés de la Danse, Wheeldon/Ratmansky/Peck

Un programme de la tournée du New York City Ballet aux Étés de la Danse sans un seul ballet de George Balanchine ? Mais oui, c’est possible. La compagnie est en effet venue avec sa soirée Chorégraphes du XXIe siècle. Les trois chorégraphes du programme, Christopher Wheeldon, Alexeï Ratmansky et Justin Peck, se placent dans la ligne de George Balanchine sans en démordre (une trentaine de minutes en scène, une belle danse classique avec quelques accents plus modernes, un travail plus ou moins abstrait sur de la musique). Pour les deux derniers cependant, la surprise est bien là. Que ce soit dans Pictures at an Exhibition ou Everywhere We Go, il règne sur scène un parfum tout particulier, une émulation différente. Et un vrai plaisir de la danse.

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Chronique – Soirée Balanchine/Tchaïkovski séculière par le New-York City Ballet aux Étés de la danse

Quand le petit George Balanchine, alors élève à l’Ecole impériale du ballet de Saint-Pétersbourg, fit sa première apparition sur la scène du Théâtre Mariinsky, ce fut sur la musique de La Belle au bois dormant composée par Tchaïkovski. Avec ce souvenir fatidique, une relation intime indéfectible se tissa entre le chorégraphe d’origine géorgienne et le compositeur controversé. C’est cet imaginaire intime que la soirée Balanchine/Tchaïkovski du New-York City Ballet a proposé de mettre en scène aux Étés de la danse. Mais d’osmose, il n’y en a eu qu’entre la musique et la danse. Du balai, le mysticisme d’Europe orientale.

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Chronique – Le New York City Ballet aux Étés de la Danse, Balanchine en noir et blanc

Académique, mais pas totalement. Abstraction, mais surtout une ouverture pour l’imaginaire. Le New York City Ballet démarre sa tournée parisienne, trois semaines au Théâtre du Châtelet aux Étés de la Danse, et la première soirée a donné le ton : George Balanchine dans toute sa splendeur. La troupe est affûtée, d’une immense précision, une extrême musicalité constante, montrant toute la complexité des chefs-d’oeuvres du maître américain. Une compagnie à l’unisson de son répertoire, qui n’empêche pas de nombreuses personnalités d’émerger du groupe. Le festin balanchinien peut commencer.

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Rencontre avec Sara Mearns, Principal flamboyante du New York City Ballet

En 2006, Sara Mearns a 19 ans et est encore dans le corps de ballet du New York City Ballet. Peter Martins la choisit néanmoins pour danser dans sa version du Lac des Cygnes. Succès immédiat qui propulse sa carrière et lui faire griller les étapes dans la hiérarchie de la compagnie. Deux ans plus tard, Sara Mearns est nommée Principal. Danseuse lyrique, passionnée, elle est la muse de tous les chorégraphes qui viennent collaborer au NYCB. À Paris, elle danse dans pas moins de sept ballets de George Balanchine, mais aussi dans le Barber Violin Concerto de Peter Martins et dans le sublime Tableau d’une expositiond‘Alexeï Ratmansky. Avant de s’envoler pour Paris et entre deux répétitions, Sara Mearns  a confié àDanses avec la plume comment elle abordait cette nouvelle tournée parisienne.

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Walpurgisnacht Ballet - Sara Mearns

Walpurgisnacht Ballet – Sara Mearns

Le New York City Ballet aux Étés de la Danse – Qui voir danser sur scène

Cette tournée parisienne du NYCB L’occasion de découvrir une nouvelle génération d’Étoiles brillantes. Quelles sont les “Principals” (équivalent d’Étoile) incontournables du New York City Ballet ? Dans quel ballet les voir danser ? Présentation des talents de la compagnie et petit point sur les distributions des Étés de la Danse.

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La technique Balanchine – Décryptage en cinq ballets

George Balanchine est le fondateur du New York City Ballet. Il implanta le ballet aux États-Unis, en même temps qu’il inventa son propre style, solidaire de certaines spécificités techniques. À tel point que parmi les écoles de ballet, la “méthode Balanchine” occupe aujourd’hui une place à part entière, à côté des écoles d’Agrippina Vaganova, d’Enrico Cecchetti, d’Auguste Bournonville… Le style de George Balanchine a très fortement marqué la formation et la technique des danseur.se.s. Retour, en quelques ballets (issus d’une oeuvre prolifique), sur ses principales particularités techniques, visible dans la programmation du NYCB.

Découvrir la technique Balanchine avec cinq ballets en vidéo…

 Une courte histoire du New York City Ballet

Quelle est l’histoire du NYCB, troupe si importante dans le monde de la danse ? Pourquoi George Balanchine est-il si important dans son histoire ? Quelles sont ses forces – et ses faiblesses – aujourd’hui ? Que représente la troupe ? Petit historique du New York City Ballet, emblématique de la danse américaine.

Découvrir l’histoire du NYCB…

Rebecca Krohn - Sérénade

Rebecca Krohn – Sérénade

Les Étés de la Danse 2016 –  Programme du New York City Ballet

Attention, événement ! Le New York City Ballet est l’invité du festival Les Étés de la Danse 2016. La troupe américaine, qui n’était pas venue à Paris depuis 2008, s’installe ainsi au Théâtre du Châtelet de Paris du 28 juin au 16 juillet, pour trois semaines de spectacles. Au programme : beaucoup de George Balanchine, le maître de la danse classique américaine et fondateur du NYCB, et quelques oeuvres de la nouvelle génération de chorégraphes néo-classiques. Une belle occasion de (re)découvrir le répertoire américain, l’ADN du New York City Ballet.

Découvrir tout le programme des Étés de la Danse…

Le Songe d’une nuit d’été de George Balanchine par le New York City Ballet

C’est une tradition pour le New York City Ballet : achever sa saison de printemps par une série de représentations du Songe d’une nuit d’été, ballet de George Balanchine. Cette reprise 2016 ne pouvait tomber mieux alors que l’on célèbre cette année le 400ème anniversaire de la mort de William Shakespeare, auteur de la comédie qui a inspiré le livret. George Balanchine a chorégraphié ce ballet en 1962. L’idée était d’en faire un pendant estival de sonCasse-Noisette. Il décida donc d’aller puiser dans d’autres partitions du compositeur allemand pour construire un ballet narratif en 2 actes et 6 tableaux. Le succès fut immédiat et il ne se dément pas aujourd’hui.

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Nicolas Blanc, un chorégraphe français au New York City Ballet

Nicolas Blanc est le premier chorégraphe français depuis Benjamin Millepied invité à créer une œuvre pour le New York City Ballet. Sa création Mothership, sur une musique du compositeur américain Mason Bates, a été présentée pour la première fois le 4 mai lors du prestigieux Gala de Printemps du NYCB, aux côtés de Christopher Wheeldon, Alexeï Ratmansky et Justin Peck. Rencontre entre deux répétitions avec ce chorégraphe français qui fait carrière aux États-Unis.

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Symphony in C de George Balanchine

Symphony in C de George Balanchine

The Most Incredible Thing, premier ballet narratif de Justin Peck pour le New York City Ballet

Rien ne semble pouvoir freiner l’incroyable énergie de Justin Peck. Désigné en juillet 2014 chorégraphe en résidence du New York City Ballet où il est toujours danseur soliste, il présente cet hiver sa dixième création pour la compagnie : The Most Incredible Thing, son tout premier ballet narratif avec 56 danseur.se.s (dont 11 enfants de la School of American Ballet, l’école de danse du NYCB). Justin Peck a construit son ballet sur le conte de Hans-Christian Andersen The Most Incredible Thing. Il s’est entouré du peintre et sculpteur canadien Marcel Dzama et a commandé une partition au compositeur américain Bryce Dessner. Une affiche de luxe rassemblant trois artistes new-yorkais en vue pour une œuvre qui s’inscrit davantage dans la tradition des ballets russes de Diaghilev.

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