Agenda danse – Décembre 2018
Décembre est un bon mois pour courir les salles de spectacles, avec de nombreux spectacles de danse programmés un peu partout. Pour le classique, cela va de Cendrillon à Don Quichotte en passant évidemment par Casse-Noisette. Pour le contemporain, place à Anne Teresa de Keersameker à Dada Masilo. Sans oublier les Portes ouvertes et premiers spectacles des Conservatoires Supérieurs.
Les spectacles de danse à Paris et sa région
Cendrillon de Rudolf Noureev – Ballet de l’Opéra de Paris
Rangé un peu vite dans la catégorie des “grands classiques”, la version de Cendrillon de Rudolf Noureev va plutôt chercher du côté du néo-classique narratif, en transposant le conte dans le Hollywood des années 1920. Une revisite qui a son charme et son inventivité, si ce n’est que la dernière reprise a été plus que poussive. Mais il suffit de peu pour redonner vie à ce ballet, notamment de belles distributions, comme c’est le cas cette année. À noter que Karl Paquette y fera ses adieux le 31 décembre.
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Voir le Calendrier de l’Avent spécial Karl Paquette
Du 26 novembre au 2 janvier à l’Opéra Bastille
Virsky, Ensemble folklorique national d’Ukraine
La danse de caractère s’inspire des danses folkloriques, souvent des pays de l’Est, en y rajoutant beaucoup de virtuosité et de spectacle, sans en oublier l’âme slave qui les nourrit. La danse de caractère est plutôt rare sur scène en France. Raison de plus pour ne pas manquer les grandes troupes qui viennent en tournée dans l’Hexagone. Virsky, l’Ensemble folklorique national d’Ukraine, en fait partie. Sur scène, 70 danseurs et danseuses font revivre cette culture de la danse dans des tableaux débordant de couleurs vives, de figures acrobatiques, de joie de danser et du lyrisme lyrisme de l’Ukraine.
Du 5 au 9 décembre au Palais de Congrès
Kiss & Cry de Michèle Anne De Mey et Jaco Van Dormael
C’est un très beau et étonnant spectacle, tout autant qu’inclassable. Kiss & Cry de Michèle Anne De Mey (qui a longtemps collaboré avec Anne Teresa de Keersmaeker) et Jaco Van Dormael est une danse des doigts aussi poétique que surprenante. cinéma en live, danse, texte, théâtre et bricolages de génie pour créer un nouveau langage scénique aux frontières de tous les genres. À découvrir !
Jusqu’au 31 décembre au théâtre La Scala
Roméo et Juliette d’Angelin Preljocaj – Ballet Preljocaj
Angelin Preljocaj, le plus célèbre des chorégraphes français contemporains, reprend sa version de Roméo et Juliette qu’il avait créée en 1990 pour le Ballet de l’Opéra de Lyon, avant de l’intégrer au répertoire de sa compagnie en 1996. S’il décale quelque peu le propos, il reste fidèle à la trame de l’œuvre et à son esprit, notamment en s’appuyant sur la partition originale de Sergueï Prokofiev dans une version numérisée par Goran Vejvoda. Mais Angelin Prejlocaj s’affranchit de l’histoire des amants de Vérone et de la rivalité entre les Capulet et les Montaigu pour transposer ce drame dans un futur non daté, post-catastrophe où une classe dominante fait régner la terreur et impose sa loi. À découvrir dans le superbe écrin de l’Opéra Royal de Versailles.
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Du 28 au 30 décembre à l’Opéra Royal de Versailles
Casse-Noisette de Marius Petipa – Ballet de l’Opéra National de Kiev
Le Théâtre des Champs-Élysées a laissé tomber le fatigué Saint-Pétersbourg Ballet Théâtre pour l’honnête Ballet de l’Opéra National de Kiev, qui viendra présenter le ballet classique de la saison. Vu la date de la programmation, il n’y a pas eu à hésiter : ce sera Casse-Noisette. Un ballet grand classique et familiale que l’on ne se lasse pas de voir, que ce soit pour son premier acte tout à la magie de Noël, le grand pas de deux du deuxième ou la superbe musique de Tchaïkovski. Même si, et c’est fort regrettable, les représentations se feront sur une musique enregistrée.
La Dame aux camélias de John Neumeier – Ballet de l’Opéra de Paris
La Dame aux camélias de John Neumeier est un magnifique ballet, un des exemples du ballet narratif néo-classique du XXe siècle. Repris partout dans le monde chaque année, il offre aux Étoiles des rôles forts. Une nouvelle génération d’artistes s’en emparent cette saison à l’Opéra de Paris, reste à les découvrir en scène.
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Du 4 décembre au 3 janvier au Palais Garnier
Is it worth to save us ? de Kaori Ito & Miraï Moriyama
Ancienne interprète d’Angelin Preljocaj, Kaori Ito est devenue une chorégraphe singulière, proposant des pièces uniques très personnelles. Sa dernière création, Is it worth to save us ?, s’inspire des personnages du roman de science-fiction de Yukio Mishima. À travers ce récit, Kaori Ito souhaite regarder et analyser les comportements humains à travers deux corps entretenant une certaine distance. Comment ces derniers peuvent-ils être très proches et ensuite très distants ? Danser pour sauver le monde ?
Du 18 au 20 décembre à la Maison des Arts de Créteil
Portrait Anne Teresa de Keersmaeker
Le portrait Anne Teresa de Keersmaeker du Festival d’Automne se terminz avec l’oeuvre la plus emblématique de la chorégraphe : Rain. 18 ans après sa création, une nouvelle génération d’interprète s’empare de cette oeuvre superbe, écrite sur la partition Music for 18 Musicians de Steve Reich, l’un des fidèles d’Anne Teresa de Keersmaeker.
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Du 6 au 8 décembre à La Villette
Romances Inciertos, un autre Orlando de François Chaignaud et Nino Laisné
Mi-concert, mi-spectacle de danse, Romances Inciertos est un voyage dans le temps, porté par les musiciens réunis autour de Nino Laisné. C’est François Chaignaud qui chorégraphie cet “autre Orlando”. Voyage musical autant que chorégraphique, Romances Inciertos puise dans les musiques espagnoles de tradition des XVIe et XVIIe siècles pour mettre en scène de savantes métamorphoses et donner à voir la renaissance de “personnages qui n’ont d’autre choix que de transformer le réel à la mesure de leur désir“.
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Du 18 au 21 décembre au Théâtre de Chaillot
Fúria (titre provisoire) de Lia Rodrigues
Artiste associée du Théâtre de Chaillot, Lia Rodrigues y présente sa nouvelle création, pour l’instant appelé Fúria. Avec une dizaine d’interprètes, la chorégraphe brésilienne s’interroge sur la phrase de sa compatriote auteure Clarice Lispector : “Si nous sommes le monde, nous sommes mis en mouvement par un radar délicat qui nous guide“. Lia Rodrigues veut s’interroger sur “un monde haché par une multitude de questions sans réponse, traversé de sombres et fulgurantes images, de contrastes et de paradoxes“.
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Du 30 novembre au 7 décembre au Théâtre de Chaillot et du 12 au 15 décembre au 104
Split de Lucy Guerin
Le principe de Split est aussi simple qu’efficace. Deux femmes occupent un espace délimité par des lignes blanches. Celui-ci ne cesse de rétrécir, les obligeant à redéfinir leur relation, à des intervalles qui se réduisent de manière toute aussi menaçante. Il n’y a ni issue ni solution, juste des gestes de plus en plus contraints, névrotiques ou soudainement apaisés.
Du 4 au 8 décembre au Théâtre des Abbesses
Les Démonstrations de l’École de Danse
Les directions changent, les traditions restent à l’École de Danse, qui présent pour la 41e saison ses Démonstrations sur la scène du Palais Garnier. De la sixième à la première division, chaque classe montre un peu de son cours de danse classique quotidien en scène, montrant au public l’apprentissage de la danse française tout comme l’évolution des niveaux. Les élèves montrent aussi leurs disciplines complémentaires, comme la danse contemporaine, l’expression musicale ou l’adage. L’occasion de voir de tous Petits rats faire leurs premiers pas en scène, ou repérer les jeunes espoirs chez les plus grand.e.s. Sauf indication contraire, les petites classes sont sur scène le matin, les grandes l’après-midi.
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Du 8 au 23 décembre au Palais Garnier
ÉtuDiANSE op. 9 par les classes de danse du CNSMDP
ÉtuDiANSE est l’ancien Jeune ballet, soit un ou deux ans pour les apprentis danseurs et danseuses après leur Certificat pour avoir le temps de se lancer dans la vie professionnelle. Au programme : des reprises du répertoire classique et contemporain, mais aussi des créations. Pour cet opus 9, place à des oeuvres de Béatrice Massin, Gabriella Gomez et Mathilde Monnier.
Campana du Cirque Trottola
Après Matamore, le Cirque Trottola revient à sa cellule originelle. Un duo devenu quatuor avec Thomas Barrière et Bastien Pelenc, multi-instrumentistes, touche-à-tout et compagnons de cordée de cette ascension menée par Titoune et Bonaventure Gacon, interprètes fascinants qui aimantent toutes les émotions. Car la patte Trottola, miraculeuse et singulière n’a pas changé, faite d’exploits virtuoses (trapèze volant, portés acrobatiques) et d’impalpables petits riens, ces instants furtifs où une mimique, un regard ahuri ou un dos fatigué sont les détails du paysage pointilliste qu’ils font de la condition humaine.
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Du 23 novembre au 15 décembre au 104
Franchir la nuit de Rachid Ouramdane
Habitué à questionner les mouvements de populations, comme il avait choisi de le faire dans sa précédente pièce Tenir le temps, Rachid Ouramdane aborde ici une thématique fil rouge de son travail : celle des migrations et de l’exil. En plus d’un dispositif scénique ambitieux, le co-directeur du CCN2-Centre chorégraphique national de Grenoble choisit de mettre en scène, aux côtés de cinq danseurs, une vingtaine d’enfants grenoblois et treize mineurs isolés venus d’Afrique ou d’Europe. Quand la danse se fait l’écho des turpitudes de notre monde contemporain, sans mièvrerie ni pathos, elle touche assurément en plein cœur.
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Du 15 au 21 décembre au Théâtre de la Ville.
Les spectacles de danse à Lyon et sa région
Noé de Thierry Malandain – Malandain Ballet Biarritz
Après Cendrillon et La Belle et la Bête, et avant Marie-Antoinette, Thierry Malandain a revisité le mythe de Noé et du Déluge. Pari audacieux et inédit pour une pièce chorégraphique même si l’on sait que le chorégraphe se veut en quête d’”une danse qui ne laisserait pas seulement la trace du plaisir, mais qui renouerait avec l’essence du sacré comme une réponse à la difficulté d’être”. Et qu’il n’a, de plus, pas son pareil pour nous entraîner vers des rives inconnues.
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Du 18 au 22 décembre à la Maison de la Danse
Carmen(s) de José Montalvo
Avec Carmen(s), José Montalvo s’empare à son tour du mythtique personnage de Prosper Mérimée. Sa vision est celle d’une Carmen multiple et universelle. Et les styles se mélangent. Quatre Carmen sont sur pointes. D’autres ont l’allure flamenco. Multitude de Carmen et de nationalités pour montrer l’universalité du personnage : françaises, espagnoles, japonaise, coréennes, elles endossent toutes avec panache et sensualité le personnage.
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Du 11 au 15 décembre à la Maison de la Danse
D’à côté de Christian Rizzo
C’est la saison dernière que Christian Rizzo s’est essayé au spectacle spécialement conçu pour le jeune public, avec D’à côté. Cette pièce est une œuvre futuriste et épurée truffée de contes à se raconter, où le chorégraphe s’est souvenu de ses propres rêves d’enfant. Une bonne occasion d’initier les plus jeunes – dès six ans – au plaisir du spectacle vivant.
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Du 5 au 8 décembre à la Maison de la Danse
Les Portes ouvertes du CNSMDL
Les classes de danse classique et contemporaine termine le premier trimestres par les traditionnelles Portes ouvertes. Dans les très beaux studios du Grenier d’Abondance, chaque classe montre ses différents cours (classique, contemporain, pas de deux, composition, etc). Une carte blanche aux danseurs et danseuses complètent le programme.
Le samedi 15 décembre, Carte Blanche les 14 et 15 décembre, au CNSMDL
Les spectacles de danse dans le Sud-Est
En compagnie de Nijinsky – Ballets de Monte-carlo
Pour leur nouveau programme, les Ballets de Monte-Carlo jouent sur l’histoire de la danse avec un hommage aux Ballets russes, troupe qui était installée à Monaco au XXe siècle. Le programme reprend quatre grandes oeuvres des Ballets Russes – Daphnis et Chloé, Le Spectre de la Rose, Prélude à l’après-midi d’un Faune et Petrouchka – revues et corrigées par quatre chorégraphes d’aujourd’hui : Jean-Christophe Maillot, Marco Goecke, le jeune et doué Jeroen Verbruggen et le formidable Johan Inger. Pour ces deux derniers, il s’agira d’ailleurs de créations, montrées quelques semaines plus tôt à Monaco. Un des grands rendez-vous de la saison.
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Les 8 et 9 décembre à Opéra de Monte-Carlo
Les Deux pigeons/Le Ballet de Faust – Ballet Nice Méditerranée
Place à deux ballets importants du répertoire français, créé au début du XXe siècle et revisité pour l’occasion par Eric Vu-An. Le premier, Les Deux pigeons, est un ballet à l’humeur joyeuse, où une jeune tzigane veut reconquérir le coeur de son bien-aimé. Le Ballet de Faust est un divertissement, inspiré par la Nuit des Walpurgis. On est en général assez loin de l’univers décadent de Faust (il faut voir les Trocks dans ce même ballet !), mais cela donne un moment de danse hommage au style français qui peut être un vrai délice.
Du 22 au 31 décembre à l’Opéra Nice Côte d’Azur
Le Monaco Dance Forum
Le festival de danse de Monaco propose pour cette édition 2018 cinq spectacles. Place d’abord à Aakash Odedra, le grand interprètes de danse Kathak (une danse indienne) pour son spectacle Rising, qui regroupe des pièces créées pour lui des trois grands chorégraphes Akram Khan, Russell Maliphant et Sidi Larbi Cherkaoui. Puis le chorégraphe grec Dimitris Papaioannou viendra montrer The Great Tamer. Puis direction la culture basque avec la compagnie Kukai Dantza, qui propose des pièces de Kukai Dantza et Marcos Morau / La Veronal pour son spectacle Oskara. Deux tubes des saisons passées enfin : les superbes Grand finale de Hofesh Shechter et Noé de Thierry Malandain.
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Giselle de Dada Masilo
Après Le Lac des cygnes et Carmen, la danseuse et chorégraphe sud-africaine Dada Masilo s’attaque à un autre mythe du ballet : Giselle. L’emblème du ballet romantique occidental. Car derrière les tutus blancs vaporeux et les forêts de chênes si européennes, il y a les fondamentaux que l’on retrouve aux quatre coins du globe : l’amour, la trahison, la folie, la mort. Même les Willis, qui sont dans les campagnes d’Afrique du Sud des vengeresses menées par une Sangoma, une guérisseuse traditionnelle. La Giselle de Dada Masilo n’est ainsi pas vraiment encline au pardon, mais plutôt une créature du diable. L’acte blanc se transforme en un acte rouge sang, mais toujours baigné comme son homologue européen des morts qui hantent vos rêves une fois la nuit tombée.
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Du 13 au 15 décembre au Pavillon Noir d’Aix-en-Provence, aussi du 18 au 21 décembre à La Villette à Paris
Les spectacles de danse dans le Sud-Ouest
Don Quichotte de Kader Belarbi – Ballet du Capitole
Don Quichotte est toujours un très bon choix de ballet pour les fêtes de fin d’année, mêlant virtuosité, humour et argument grand public permettant de plaire à tout le monde. La version de Kader Belarbi, remontée en 2017, est une jolie réussite. L’idée n’est pas de révolutionner le ballet, mais d’en présenter une belle version traditionnelle et vivante, dans une production soignée, sans être poussiéreuse. La troupe s’y montre très unie et plutôt flamboyante, faisant honneur à ce grand classique du répertoire du ballet.
Du 21 au 31 décembre au Théâtre du Capitole
La Fille mal gardée de Frederick Ashton – Ballet de l’Opéra de Bordeaux
La Fille mal gardée, le premier ballet d’action, est né au Grand-Théâtre de Bordeaux, en pleine Révolution. Il était donc temps que ce ballet phare de l’histoire de la danse reviennent en ses terres. L’Opéra de Bordeaux aurait pu proposer une nouvelle production, il aurait fallu pour cela un autre budget. Le Ballet de l’Opéra de Bordeaux fait donc entrer à son répertoire la version anglaise de Frederick Ashton, une production bourrée de tendresse et d’humour, mais vue absolument partout aux quatre coins du monde. Reste toutefois un beau ballet, proposant toute une séduisante galerie de personnages pour la compagnie. Et une belle opportunité pour les talentueux interprètes de la compagnie. À noter que Léonore Baulac et Paul Marque seront artistes invités sur cette série.
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Du 11 au 31 décembre au Grand-Théâtre
Les spectacles de danse dans l’Ouest
Dance de Lucinda Childs – Ballet de l’Opéra de Lyon
Avec Dance de Lucinda Childs, voilà une oeuvre majeure de l’histoire de la danse. La chorégraphe y crée un nouveau langage. Comme Philip Glass dont elle prend la partition, elle procède par répétitions et introduit des variations infimes dans les mouvements, que seule une attention décuplée peut repérer. Les danseurs et danseuses se meuvent selon des parcours géométriques complexes, tracés sur des feuilles au prix de savants calculs. Ils dessinent des lignes et des courbes, rapides et infinies. Le Ballet de l’Opéra de Lyon s’empare de cette oeuvre complexe avec enthousiasme.
Les 20 et 21 décembre à la Scène nationale d’Orléans
Les projections
Casse-Noisette de Peter Wright – Royal Ballet de Londres
Chaque saison, le Royal Ballet programme Casse-Noisette en décembre, et chaque saison cela affiche complet. Comment en effet se lasser de cette production féérique, qui nous plonge au coeur de la magie de Noël ? Un superbe ballet pour les Fêtes, inventif et rempli d’inventivité. Pour cette diffusion en direct, la compagnie a comme toujours choisi un casting de luxe, avec Marianela Nuñez et Vadim Muntagirov. Mais de nombreux jeunes talents sont à découvrir dans les rôles principaux.
Le 3 décembre en direct au cinéma
Casse-Noisette de Youri Grigorovitch – Ballet du Bolchoi
Et non, on ne se lasse pas de Casse-Noisette pour les Fêtes ! La version de Youri Grigorovitch pour le Ballet du Bolchoi se situe aussi dans la grande tradition de ce ballet de Noël, en phase avec la superbe partition de Tchaïkovski. Un classique à voir en famille juste avant le Réveillon, avec les Étoiles Ekaterina Krysanova et Semyon Chudin dans les rôles principaux.
Le 23 décembre en direct au cinéma