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La vidoé-danse du jeudi (17)

Cette semaine, un grand classique dont j’ai déjà parlé, mais ça ne fait jamais de mal de le revoir : Le Boléro de Maurice Béjart, avec comme soliste sur la célèbre table rouge Sylvie Guillem.

Il s’agit ici de la deuxième partie. Certains disent qu’il s’agit ici du plus grand ballet du XXe siècle. D’autre, qu’il n’y a là ni plus ni moins que la mise à mort du (de la) danseur(se) face au public intransigeant. Pour ma part, j’ai envie de dire que pour certaines choses, il n’y a pas besoins de parler, juste de regarder.

Com­­­­pa­­­­gnie : Le Ballet de Tokyo
La soliste : Sylvie Guillem
Cho­­­­ré­­­­gra­­­­­phie : Maurice Béjart
Musique : Maurice Ravel

Commentaires (1)

  • C’est curieux, autant j’adore Syl­­­vie Guillem (dans Mali­­­phant, notam­­­ment), autant pour le Boléro, je crois que je pré­­­fère le voir dan­­­ser par Eli­­­sa­­­beth Ross (je crois que c’est son nom – une rousse immense) – et plus encore par un homme (peut-être est-ce sim­­­ple­­­ment du au fait que l’on est plus sen­­­si­­­ble à une cer­­­taine force ani­­­male quand elle vient du sexe opposé). Curieu­­­se­­­ment aussi, c’est quand elle bouge le moins que je trouve Syl­­­vie Guillem la plus expres­­­sive ici (même si les déve­­­lop­­­pés sur jam­­­bes pliés devien­­­nent félins avec elle) – d’une grande vio­­­lence, d’ailleurs.


    > J’avoue que je ne con­­nais que la ver­­sion Guillem. Mais j’ai très envie de voir en vrai une ver­­sion mas­­cu­­line, l’éner­­gie doit être dif­­fé­­rente. Les quel­­ques ima­­ges aper­­çues de Le Riche sur la table rouge m’ont tou­­jours fait très envie, mais je l’ai tou­­jours raté. 

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