L’hiver s’annonçant terne et blafard, notre danse peut battre de l’aile. Néanmoins, cela n’empêche pas votre professeur.e de danse de vous lancer régulièrement un énergique “Prenez la lumière !“. Soleil, ampoules de vitamine D ou luminothérapie seraient-ils autant d’alternatives pour retrouver votre élan ? Vous l’aurez deviné, la solution reste d’abord entre vos mains et votre travail pour illuminer votre cours de danse. 

Pas besoin de néon

“Prenez la lumière !“, demande régulièrement votre professeur.e de danse… Alors comment faire ? Il suffirait peut-être de vous exposer à la lumière du soleil ou de tendre la main vers vos étoiles en espérant un bout de leur bienfait. Voir une petite séance d’U.V. .? Rien de tout cela ! “Prendre la lumière” est en effet une attitude, ou plus précisément une façon de tenir son corps et de le maintenir. Ne comptez surtout pas, ainsi, sur les fameux néons des salles de danse pour mettre en valeur l’écho de vos mouvements.

Le fameux “plexus solaire”

Le travail de base se focalise sur le positionnement de votre buste et plus précisément de votre décolleté. Imaginez ainsi que s’y cache un diamant, avec le sentiment de le montrer constamment. Exprimez par cette pensée votre danse par le plexus solaire.

Le placement du regard durant les pirouettes comme dans le mouvement est aussi important. L’exécution peut en être modifiée, l’expression aussi. À l’endroit où vous portez vos yeux, un troisième œil doit s’exprimer entre les deux clavicules. Songez également au port de tête, levez le museau et dégagez votre cou. Pendant une heure, devenez le héros de Black Swan, une Odette transcendée ou un maître de ballet imposant.

On prend confiance ! 

Dernier conseil pour “prendre la lumière” comme demandé : soyez fier.ère dans votre allure, dans votre esprit et dans votre corps. Votre danse pourra alors rayonner et rendra votre professeur.e aveugle à vos erreurs ou autres petits défauts.