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[PHOTOS] Retour sur la tournée du New York City Ballet aux Étés de la Danse

Le New York City Ballet a achevé ses trois semaines de représentations au Théâtre du Châtelet, dans le cadre des Étés de la Danse. Sur 20 représentations, la compagnie a proposé cinq programmes différents ainsi qu’un gala, permettant de voir 20 ballets, dont 14 de George Balanchine.

Retrouver en images les meilleurs moments de ces représentations : 

 

Chronique – Le New York City Ballet aux Étés de la Danse – Programme Balanchine New York-Paris

C’est avec un hommage à la musique française que le New York City Ballet a fait ses adieux à Paris et aux Étés de la Danse, avec une soirée Balanchine New York-Paris. Un programme en feu d’artifice à l’image de la tournée de trois semaines de la troupe. Joie de danser, musicalité et écueil permanent du chichiteux (malgré certaines chorégraphies où il était facile de tomber dedans à pieds joints), le tout porté par les quatre reines de la troupe : Sara Mearns, Megan Fairchild, Sterling Hyltin et Tiler Peck.

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Chronique – Le New York City Ballet aux Étés de la Danse, programme Balanchine/Martins/Robbins

Après deux soirées consacrées à George Balanchine et une autre autour de récentes créations, place au programme Balanchine/Martins/Robbins du New York City Ballet aux Étés de la Danse. Entre l’imagerie sépia du Far West, de l’Italie et du New York des années 1950, les ballets donnaient à voir quelques cartes postales dont les chorégraphes américains ont le secret. Clichés sur patte de pays fantasmés ? Bien sûr. Mais les interprètes ont ce savant dosage de second degré et de distance pour en faire de charmants – et parfois tonitruants – moments de danse.

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Chronique – Le New York City Ballet aux Étés de la Danse, Wheeldon/Ratmansky/Peck

Un programme de la tournée du New York City Ballet aux Étés de la Danse sans un seul ballet de George Balanchine ? Mais oui, c’est possible. La compagnie est en effet venue avec sa soirée Chorégraphes du XXIe siècle. Les trois chorégraphes du programme, Christopher Wheeldon, Alexeï Ratmansky et Justin Peck, se placent dans la ligne de George Balanchine sans en démordre (une trentaine de minutes en scène, une belle danse classique avec quelques accents plus modernes, un travail plus ou moins abstrait sur de la musique). Pour les deux derniers cependant, la surprise est bien là. Que ce soit dans Pictures at an Exhibition ou Everywhere We Go, il règne sur scène un parfum tout particulier, une émulation différente. Et un vrai plaisir de la danse.

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Chronique – Soirée Balanchine/Tchaïkovski séculière par le New-York City Ballet aux Étés de la danse

Quand le petit George Balanchine, alors élève à l’Ecole impériale du ballet de Saint-Pétersbourg, fit sa première apparition sur la scène du Théâtre Mariinsky, ce fut sur la musique de La Belle au bois dormantcomposée par Tchaïkovski. Avec ce souvenir fatidique, une relation intime indéfectible se tissa entre le chorégraphe d’origine géorgienne et le compositeur controversé. C’est cet imaginaire intime que la soirée Balanchine/Tchaïkovski du New-York City Ballet a proposé de mettre en scène aux Étés de la danse. Mais d’osmose, il n’y en a eu qu’entre la musique et la danse. Du balai, le mysticisme d’Europe orientale.

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Chronique – Le New York City Ballet aux Étés de la Danse, Balanchine en noir et blanc

Académique, mais pas totalement. Abstraction, mais surtout une ouverture pour l’imaginaire. Le New York City Ballet démarre sa tournée parisienne, trois semaines au Théâtre du Châtelet aux Étés de la Danse, et la première soirée a donné le ton : George Balanchine dans toute sa splendeur. La troupe est affûtée, d’une immense précision, une extrême musicalité constante, montrant toute la complexité des chefs-d’oeuvres du maître américain. Une compagnie à l’unisson de son répertoire, qui n’empêche pas de nombreuses personnalités d’émerger du groupe. Le festin balanchinien peut commencer.

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