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Les dix spectacles à ne pas manquer cet été

Avant un agenda de l’été complet et détaillé début juillet, place en avant-goût à dix spectacles, dans des lieux insolites, grandioses, ou fêtant un événement particulier, à ne pas manquer tout au long de cet été 2023. Des spectacles aux quatre coins de la France, avec quelques petites incursions chez nos voisins européens.

Boléro de Maurice Béjart – Julien Favreau et le Béjart Ballet Lausanne

On achève bien les chevaux au Festival d’été de Châteauvallon. Pour un spectacle grande forme mêlant danse et théâtre, dans un lieu unique en plein air. Pour le formidable Ballet de l’OnR que l’on pourra ici découvrir dans un autre registre. Pour le plaisir de revoir en scène, en tant que comédien et comédienne, Josua Hoffalt et Muriel Zusperreguy. Le 6 juillet à l’Amphithéâtre de Châteauvallon

Le Béjart Ballet Lausanne à Vaison Danses. Pour l’immense plaisir de voir le mythique Boléro dans un lieu grandiose, cela prend encore une autre dimension. Pour revoir le grand Julien Favreau dans ce rôle emblématique. Pour découvrir aussi Sept danses grecques, qui là encore ont une autre saveur dans ces lieux symboliques. Le 11 juillet au Théâtre antique de Vaison-la-Romaine.

– María Pagés aux Nuits de Fourvière. Pour une grande soirée de flamenco dans un lieu unique. Pour plonger dans l’envoûtement des Mille et Une Nuits, qui a inspiré à la Bailaora ce nouveau spectacle, De Scheherazade. Pour la musique, la danse et les voix qui s’élèvent dans le ciel de Lyon. Les 10 et 11 juillet au Grand Théâtre de Fourvière.

– Le Ballet de Hambourg au Festival de Grenade. Pour cette superbe troupe dans un lieu magique : les jardins de l’Alhambra. Pour la saveur du Songe d’une nuit d’été revisité par John Neumeier. Pour se consoler de ne pas avoir eu de plus pour son Gala Nijinski à Hambourg. Le 14 juillet au Théâtre Generalife de Grenade.

– Le Ballet de la Scala de Milan aux Chorégies d’Orange. Pour apprécier l’acte II du Lac des cygnes de Rudolf Noureev d’après Marius Petipa, que l’on connaît par cœur, dans un lieu hors du commun. Pour William Forsythe formidablement bien dansé par la compagnie milanaise. Pour faire un petit coucou à Manuel Legris (le directeur de la troupe) dans les gradins. Le 15 juillet au Théâtre antique d’Orange.

– Camille Boitel à Paris l’été. Pour voir la Gare Montparnasse définitivement sous un autre regard. Pour la peur délicieuse du vertige, thème central de ce spectacle La Lévitation réelle. Pour voir à l’œuvre l’une des circassiennes les plus talentueuses et surprenantes de sa génération. Les 21 et 22 juillet à la Gare Montparnasse et au Lycée Jacques-Decour.

– Daniil Simkin au festival Un Violon sur le sable. Pour Daniil Simkin, danseur tout feu tout flamme et formidable. Pour le plaisir d’un spectacle les pieds dans le sable et la tête dans les étoiles. Pour l’affiche de musiciens qui l’accompagnent : Gautier Capuçon, Amina Edris ou David Fray, rien que ça. Le 28 juillet sur la plage de Royan.

– Roberto Bolle and Friends à Taormine. Pour Roberto (y a-t-il vraiment besoin de développer ?). Pour la toujours superbe petite troupe qu’il constitue chaque été, réunissant les Étoiles et solistes incontournables de la scène internationale. Pour goûter à une ambiance assez folle : Roberto Bolle, c’est une rockstar en Italie ! Le 29 juillet au Théâtre antique de Taormine, et d’autres dates en Italie.

– Les 60 ans de l’Australian Ballet à Londres. Pour voir enfin en scène cette superbe compagnie, qui vient avec un gala et Joyaux de George Balanchine. Pour saluer David Hallberg, son directeur. Pour prolonger ses vacances à Londres et souhaiter un joyeux anniversaire à Carlos Acosta, qui soufflera ses 50 bougies quelques jours plus tôt dans le même théâtre. Du 2 au 6 août à la Royal Opera House de Londres.

– La finale mondiale de danse freestyle au festival Fusion Concept. Pour une ambiance surchauffée avec les meilleurs danseurs et danseuses de la discipline. Pour découvrir ce festival qui occupe Paris et sa région fin août. Pour se mettre de bonne humeur avant la rentrée. Le 27 août au Cirque d’Hiver de Paris.

 



Commentaires (1)

  • Monique Lens

    Trop tard ce message, je n’ai pas vu mon petit cousin Julien Favreau à Paris, je ne reçois plus les nouvelles du BBL.

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