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Concours : deux DVD du film “La Danse, le Ballet de l’Opéra de Paris” de Frederick Wiseman à gagner

C’est avec une certaine fierté (voir même un peu d’émotion) (petite larme), que je lance le premier concours sur Danses avec la plume.

A gagner : deux DVD du film La Danse, le Ballet de l’Opéra de Paris, de Frederick Wiseman. 

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Pendant 12 semaines, le réalisateur s’est glissé à Garnier et Bastille. Il en a fait un film de 2h30, sans aucun commentaire, sur cette compagnie si particulière. La Danse y a évidemment une grande place, et on y retrouve de larges extraits de ballets classiques et contemporains, comme je l’avais expliqué il y a un an.

Frederick Wiseman a indéniablement une façon très particulière, et vraiment vivante, de filmer la danse. Les extraits de Genius m’avaient d’ailleurs particulièrement marquée, tout comme un filage de Paquita particulièrement savoureux.

Un documentaire indispensable pour tou(te)s les danse-addicts, à mon humble avis.

Inclus dans le DVD, un petit livret contenant un long entretient avec Frederick Wiseman, ainsi qu’une petite pub pour la saison 2010/2011 de l’Opéra de Paris (au cas où vous ne connaîtriez pas encore le programme par coeur).

Pour jouer, et peut-être gagner, c’est très simple : il vous suffit juste de laisser un commentaire à la fin de cet article, en racontant un moment fort que vous avez vécu en tant que spectateur(rice)s du Ballet de l’Opéra de Paris. Que ce soit un ballet dans son ensemble, un extrait, un passage, à Garnier, à Bastille, en tournée, sur Youtube ou sur DVD, que ce soit quelques mots ou un long paragraphe, je ne suis pas difficile.

Deux commentaires seront tirés au sort, et les deux gagnant(e)s recevront chacun un DVD.

Une participation par nom-pseudo/mail/adresse IP. Adresse e-mail obligatoire (visible uniquement par moi). 

Le concours est ouvert jusqu’au vendredi 17 septembre au soir, à minuit (heure de Paris).

Merci aux éditions Montparnasse Presse.

Commentaires (25)

  • Je n’ai pas eu l’occasion d’aller à l’Opéra de Paris, mais j’ai vu un ballet au Grand Théâtre de Bordeaux. C’était magnifique, c’était la première fois de ma vie à voir un ballet : délicatesse, sensibilité, beauté, innocence, merveille.
    Merci pour ce concours.

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  • virginie

    le premier opera je l ai vu à la tele et je n oublierais jamais ce moment inoubliable

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  • christelle

    je n est jamais eu l occasion de voit un ballet d opera je suis sur que ca doit etre super merci pour ce concour ainsi que ce superbe dvd.

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  • Coucou

    Le documentaire Wiseman est un petit bijou, mais on peut regretter qu’aucun danseur ne soit identifié. Les habitués reconnaissent tout le monde, mais les autres nagent un peu. Bravo en passant pour votre site, très agréable à lire. :-**-:

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  • corinneb

    je n’ai malheureusement jamais eu l’occasion dans ma petite province d’aller à l’opéra
    comme tous les fans d’opéra me disent que c’est magique j’espere un jour decouvrir cela de mes propres yeux

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  • sternelle

    Alors pour moi ce sera l’opéra garnier en lui-même ! Tout simplement somptueux ! Comment ne pas être aspiré par tant de richesse dans les décors et dans d’espace ! Et puis le grand escalier ouahahhhhouuuu ! et avec les jeux de lumière tout cela est vraiment mis en valeur

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  • Pauline T.

    En tant que grande danse-addict j’aurai des tonnes de choses à raconter sur les balets que j’ai vu ou les spectacles dans le quel j’ai dansé mais, habitant toulouse, je n’ai jamais eu l’occasion de voir un ballet à l’opéra Garnier ou Bastille bien que si j’avais à choisir entre les deux je me rendrais à Garnier, pour le coté autentique du batiement!

    Sinon j’adorerai gagner ce DVD pour pouvoir me le passer en boucle, afin de m’imprégner des ballets et des musiques du film!
    Pour finir, je te laisse un petit lien vers une video trailer d’une compagnie de danse qui publie régulièrement des videos reportage que j’adore :

    http://www.youtube.com/watch?v=WUrJ

    Merci pour ce concours.

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  • flo

    la 1ere fois que je suis allée à Garnier, ce n’était pas pour un spectacle mais pour le visiter. A l’époque j’étais étudiante en histoire de l’art et le visiter était incontournable. J’avais qu’une envie c’était de rencontrer un petit rat de l’opéra au détour d’un couloir. Même si je n’ai rencontré personne, l’endroit est magique, superbe, impressionnant.

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  • Minnie

    La danse est pour moi une passion intense ! Les ballets sont des moments de pure beauté, c’est la perfection en mouvement. Regarder un ballet de l’Opéra de Paris est un moment magique et j’ai hâte de voir les danseurs à Bastille dans le Lac des Cygnes.

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  • Jeanne

    Merci de nous faire partager votre passion pour la danse.

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  • Je n’ai hélas jamais vu un tel ballet en direct, aussi je me suis contentée d’extraits sur Youtube et compagnie. J’ai été subjuguée, je voulais absolument voir la suite!

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  • Bonsoir,
    J’ai découvert la danse à dix ans… Elle est devenue plus qu’une passion… cette passion entendue au premier sens du terme… J’étais alors pratiquement aveugle… Mon plus beau souvenir de spectacle “vu”, ne serait-ce qu’imparfaitement, c’est celui du Casse-noisette de Rudolph Noureev, diffusé à la télévision en 1985… Je nne rêvais que de revoir ce ballet, dans un théâtre… Mon rêve s’est réalisé 25 ans après, le 10 décembre 2009, quand je fus invitée à assister à la générale du ballet par un fabuleux hasard… J’ai alors vu le ballet autrement… Je suis devenue complètement aveugle il y a un peu plus de vingt ans… Mais avec le souvenir des images, l’habitude d’écouter la danse pour la percevoir dans des détails qui surprennent les personnes à qui je raconte, j’ai eu comme l’impression d’avoir recouvré la vue…
    Ah tant d’autres souvenirs… bien que je n’aie jamais été à l’Opéra avant de perdre ma toute petite vue… Garnier, je l’ai découvert dans les livres… Les ballets à la télévision et sur les images des livres, les cartes postales… et tout est inscrit dans un miroir de ma mémoire…
    Si dans le film on ne reconnaît pas les danseurs… alors, pour une fois… je suis “à égalité” avec les ballettomanes voyants… quoique je pense que les passionnés reconnaissent les visages, les silhouettes, comme je reconnais les pas de celles et ceux que j’ai eu la chance de “voir” danser plusieurs fois…
    Je vous laisse un lien… Vous verrez alors un autre beau souvenir… les toits de Garnier… Le plus bel endroit au monde…
    http://corpsetgraphies.free.fr

    Aurélie

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  • Ma plus belle émotion était lors de mon premier défilé du corps de ballet. la simplicité l’élégance, juste avec un regard une révérence un instant merveilleux qui me fait monter les larmes tous les ans…
    rien qu’un regard provoque de telles émotions… tous les souvenirs s’entremêlent quand je vois le défilé

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  • Nicolas

    Mon petit séjour à Paris se termine à peine.
    Avec visite de l’Opéra Garnier oblige !
    Malheureusement l’Auditorium et le Musée étaient fermés cette semaine.

    Dans les couloirs ce qui me charme le plus ce sont les galeries, plutôt sobres, pleines de miroirs. Je m’y imagine des jeunes rats s’exercer à la barre.

    Après un coup d’œil dans les allées, je me suis permis une pirouette face à une glace. Flag !

    … Tant pis !

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  • Eldoe

    Bonjour.
    Pour ma part, ça n’est encore que des images de télévision…
    Pour un vrai ballet, mon récent déménagement en banlieue parisienne et l’arrivée d’une comparse pour m’accompagner vont sans doute me permettre d’aller découvrir cet enchantement.
    (D’ailleurs, j’espère voir quelques avis sur les ballets à venir, avis toujours très étoffer et qui donnent très envie. Donc merci).

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  • Alors un de mes meilleurs souvenirs à l’Opéra de Paris, c’est le Lac des Cygnes avec Carole Arbo et Jean-Guillaume Bart : ils nous ont offert un magnifique pas de deux de l’acte 2, tout plein de tendresse, j’en avais les larmes aux yeux !

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  • rosamunde

    S’il ne fallait retenir qu’un souvenir unique à l’Opéra de Paris, ce serait une invitation pour une représentation de Casse-Noisette en 2000…en guise de cadeau de Noël ! Ce fut l’occasion de découvrir un ballet dans son intégralité et « en vrai ».
    La magie a opéré ce jour-là puisque, saisons après saisons, je demeure une fidèle spectatrice des ballets de l’Opéra.

    Bravo pour ce blog que je trouve très agréable à lire.

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  • cam's

    Ca fait 3 ans que je vais régulièrement à l’Opéra et outre la première fois que je entrée dans la salle du Palais Garnier, je dirai la double nomination Isabelle Ciaravola/ Mathias Heymann.
    Tout simplement parce que c’était l’entrée au répertoire d’Onéguine, il y avait une ambiance très particulière. Le ballet était magnifique, les danseurs extraoridaires. Isabelle Ciaravola a survolé le ballet par sa grace et l’émotion qu’elle dégageait.
    Avec Hervé Moreau, ils m’ont mit les larmes aux yeux.

    Aussi parce que, comme à mon habitude j’étais en fond de loge, avec un angle mort et je n’ai pas vu arriver sur scène Gérard Mortier Brigitte Lefebvre. Impossible donc de me rendre compte tout de suite de ce qu’il se passait.
    Et puis la nomination, les exclamations du public, ma voisine de loge qui me demande un mouchoir, et moi si émue d’assister à se moment si unique. La première nomination à laquelle j’assistais. Celle d’une de mes danseuses favorite et d’un danseur qui sera la grande étoile de ma génération. Celle dont je pourrai dire dans plusieurs années “et oui j’étais quand il a été nommé!!”

    bravo pour ton blog. Continue! 🙂

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  • Mon plus beau souvenir ?

    C’était au Palais Garnier, en janvier 2008. J’emmène ma mère, 55 ans et une belle carrière de danseuse professionnelle puis de professeur derrière elle, voir danser le Bolchoï, cette compagnie que j’admire depuis si longtemps en m’usant la rétine sur la mauvaise qualité des vidéos YouTube.
    C’est ‘Le Corsaire’, avec Svetlana Lunkina et Sergeï Filin, mais j’ai les larmes aux yeux déjà bien avant l’entrée des deux étoiles en scène, je pleure lorsque retentissent les premières mesures de la première variation du corps de ballet et que ces si beaux danseurs russes prennent possession de la scène avec leurs temps levés battus.
    Et c’est ce moment-là que choisit ma mère, après tous ces ballets auxquels elle a pu assister auparavant, après tous ces spectacles qu’elle a donné dans tous ces pays, et après ces quelques minutes de représentation, pour me glisser : “Tu sais, j’ai l’impression d’avoir cinq ans et de me dire ‘mon Dieu, je veux faire de la danse, je veux danser comme eux quand je serai grande’. Merci.”.

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  • Charlotte

    ça fait maintenant 4 ans que je vais très régulièrement à l’Opéra de Paris voir des ballets, je suis devenue véritable accro!! Pour l’instant j’ai 3 abonnements pour la saison 2010-2011!
    Des moments forts il y en a eu beaucoup…
    Tout d’abord, la Dame aux Camélias avec Isabelle Ciaravola et Stéphane Bullion: un pur moment de bonheur, des portés d’une facilité et d’une fluidité remarquable!! Et puis j’aime beaucoup le ballet en lui même, la musique… Je pleure très rarement dans les ballets même si je suis émue, que j’adore… mais ce soir là c’est une des rares distributions qui m’a émue aux larmes.
    Sinon simplement les séances de travail des ballets ou bien les “rencontres”, sont des moments très privilégiés où l’on se sent proches des danseurs.
    Encore beaucoup de bonheur avec le partenariat Dupont-Legris qui ne m’a jamais déçue.
    Dernièrement, la visite d’Ouliana Lopatkina, à Versailles dans une toute petite salle, en venant au dernier moment, se retrouver si bien placée tout proche de cette merveilleuse danseuse qui a même eu la gentillesse de bisser La Mort du cygnes.
    Bref la liste pourrait s’allonger infiniment!
    Un grand merci à Amélie pour ce blog que je lis avec plaisir très régulièrement!
    Charlotte

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  • ileana

    Je suis allée à l’Opéra pour la première fois lorsque j’avais 8 ou 9 ans. Le spectacle commençait par le grand défilé. Immédiatement, j’ai été subjuguée par ces flots blancs set majestueux sans cesse recommencés. La fascination dure encore, tant d’année après.

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  • Pas facile de choisir. J’ai pensé à la jubilation devant Genus de MacGregor, ou à la fascinantion pour Amoveo, mais je crois que dans le registre des gorges nouées, les deux moments où je me suis fossilisée dans mon siège, c’étaient le pas de deux du Parc, de Preljocaj et After the rain, de Christopher Wheeldon ; un à Garnier, l’autre à Bastille, histoire de ne pas faire de jaloux.

    Le pas de deux du Parc fait cet effet à beaucoup de monde, je crois – ou la musique de Mozart. En fait, ce n’est peut-être pas tellement le pas de deux en lui-même que la place qu’il occupe dans le ballet : il faut en effet que les deux libertins aient abandonné leurs jeux amoureux qui se jouaient d’eux bien plus qu’ils n’en jouaient, qu’ils se soient dépouillés de tout amour-propre pour oser, timidement ou délicatement d’abord puis passionnément, s’aimer. Aurélie Dupont, à nu dans sa chemise de nuit (je suis d’ailleurs tombée amoureuse d’une chemise un peu semblable – je n’ai compris pourquoi qu’ensuite), et Manuel Legris qui lui donnait toute sa puissance formaient un couple tout en intensité. Entre les espèces de contractions du désir au tout début du pas de deux, lorsqu’on n’est pas encore certain que c’en sera un, et les caresses de la tête qui se frotte comme un chat contre le torse de l’autre, (le baiser porté, aussi, bien sûr) ; je me suis dit que c’était comme cela que je voulais qu’on me fasse l’amour.

    A l’Opéra aussi, quoique par le New York City Ballet, il y a eu After the rain. Le proverbe nous ferait attendre un “beau temps” – or le pas de deux n’est pas beau mais lumineux, et hors du temps. Cette impression d’être en dehors du monde vient sûrement de la musique d’Arvo Pärt. Lorsque j’ai entendu les premières mesures, ma gorge s’est contractée, et je me suis dit que ce n’était pas possible. Cette musique, Tabula rasa, je la connaissais par cœur, j’avais dansé dessus au conservatoire pour ma variation d’interprétation. Bien sûr, ce n’était pas la même chorégraphie, pas Wheeldon mais un Dos Sentos, je crois (repiqué sur une cassette de Lausanne). Il n’empêche, je l’avais dansé, sondé même, si je me rappelle le passage où le seul mouvement tenait tout entier dans le regard, qu’il ne fallait pas halluciné (exit le regard bovin), ni tragique, ni vide, mais un peu perdu, douloureux, et intense. Passées les premières mesures où je me suis attendue à voir les mouvements que mon corps commençait à esquisser sur le siège (comme si la chorégraphie apprise faisait définitivement corps avec la musique), cela a été une véritable tabula rasa ; la chorégraphie de Wheeldon a surgit comme de nulle part, mais évidemment de la musique – évidente, donc. Il est curieux de constater que je ne me souviens plus des pas, tout juste d’un corps noueux et des cheveux défaits, comme des racines qui plongeaient le pas de deux dans des temps immémoriaux, au-delà de la parole, et l’autre corps qui lui répondait, noir et musculeux. Je ne me souviens plus de la chorégraphie, seulement de l’émotion : un déchirement lancinant, à pleurer sans larmes.

    Je crois qu’il faudrait que je raconte ça, en fait, quand un sceptique me demande ce que je peux bien trouver à la danse.

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  • in591

    Bonjour,

    Je n’ai eu l’occasion de voir un ballet que à la télé.
    Mon émotion, plus que du ballet en lui même, est venu du fait de voir ma fille (qui n’a que 2 ans) totalement captivée et réceptive.

    merci pour ce jeu, je croise les doigts

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  • Anna

    bonsoir,
    mon souvenir vient de bien loin… toute petite fille… dans une loge de l’Opéra… Mon papa m’avait emmenée voir les démonstrations de l’Ecole De Danse… J’étais hospitalisée loin de chez moi pour de longs mois et ces sorties/permissions étaient tellement douces… Je crois que Mlle Miteki Pontois était parmi les élèves… que dire… c’était tellement beau et jamais aucun ballet, pourtant depuis j’en ai vu beaucoup, mais surtout en vidéos et notamment sur ce blog… ne m’a donné la même joie.
    continuez, Amélie d’écrire si joliment et de choisir pour nous les vidéos du jeudi…
    Anna

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  • Fabienne

    bonjour,
    J’écris à la place de Fabienne qui ne peut pas le faire… Je suis son amie, Aurélie.
    son plus beau souvenir du Ballet de l’Opéra de Paris : Isabelle Ciaravola dans le Spectre de la Rose, en décembre dernier. C’était la première fois que Fabienne voyait un Ballet en vrai… et entendait la musique autrement que sur un CD… Et quand le ballet s’est terminé, elle a simplement chuchotté “encore une fois”comme si elle était trop émue pour applaudir.
    Merci à Vous Amélie de m’avoir permis de raconter le souvenir d’une amie pour laquelle j’ai pu jouer les père Noël de façon si vraie l’hiver dernier.

    A très vite.

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