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Saison 2011-2012 : que voir à l’Opéra de Paris ?

C’est l’adage imparable. Qui dit “rentrée” dit “article sur ce qu’il ne faut pas rater cette année”. J’ai déjà indiqué le programme du Ballet de l’Opéra de Paris il y a quelques mois. Penchons-nous maintenant plus en détail sur ce que nous réserve la compagnie parisienne.


Le Ballet de l’Opéra de Paris à Garnier ou Bastille

Soirée Lifar/Ratmansky, du 21 septembre au 6 octobre 2011
Deux ballets : Phèdre de Lifar et Psyché de Ratmansky (création)

Ce qu’en dit Dieu Brigitte Lefèvre : L’enjeu d’une création, c’est d’aller vers des choses les plus marquées, tant sur le plan de l’architecture que de la musique. Mais aussi, non pas de retourner en arrière, mais de pouvoir continuer à avancer sur une espèce de parfum de merveilleux, de conte, et de continuer à transmettre les ouvres. Voici deux chorégraphes russes, que je n’ai pas associé forcément pas hasard. Lifar a été le directeur de la danse pendant longtemps, il a signé de nombreux ballets, et je trouvais important de pouvoir faire revivre Phèdre. C’est une tragédie chorégraphique de Cocteau, passionné par la danse. Pouvoir continuer à transmettre des œuvres, non pas avec des écrits, des partitions, mais avec des personnes… Grâce à Claude Bessy (on lui doit beaucoup, elle a aussi dansé Phèdre), aussi par la vidéo, on va pouvoir faire renaître ce ballet créé en 1949. C’est un ballet qui dure 45 minutes. 

Je voulais aussi présenter une création. J’ai pu convaincre Ratmansky. Ça fait longtemps que je souhaitais qu’il chorégraphie pour nous.

Ce que j’en dis : Je suis beaucoup plus en attente de Phèdre que de Psyché. J’aime beaucoup Lifar, même si je ne connais que quelques unes de ses œuvres. Les pré-distributions sont aussi prometteuses, avec Marie-Agnès Gillot et Agnès Letestu qui devraient se partager le rôle-titre. Pour l’instant, je reste assez froide face aux ballets de Ratmansky. Psyché sera apparemment un ballet très nature, entre des hommes-animaux et des femmes-fleur, avec des costumes particulièrement véridiques paraît-il. Les deux premières soirées seront précédées du Défilé, un spectacle en soi. 

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La Source de Jean-Guillaume Bart, du 22 octobre au 12 novembre 2011

Ce qu’en dit Brigitte Lefèvre : On remonte le temps, c’est un ballet dont l’argument a été créé en 1866. C’est une oeuvre de l’un de nos danseurs étoiles, Jean-Guillaume Bart, qui est maintenant un grand pédagogue de la compagnie, qui est passionné par toute l’histoire de la danse, et surtout par ce qui lui permet d’exister toujours avec ce langage classique. Il est venu avec ce projet. Il m’a dit qu’il ne restait rien de la chorégraphie. Donc on va vraiment être dans la création. On continue à avancer, c’est vraiment cette dimension. La chorégraphie sera donc absolument nouvelle. Il m’a lu le livret, c’est un argument très compliqué, on ne sait pas qui a trahit qui, qui va vivre avec. C’était quand même passionnant. L’imaginaire l’emporte sur la compréhension de l’œuvre. Comme c’est un ballet d’aujourd’hui, assez orientaliste, il me paraissait indispensable que ce soit Christian Lacroix qui fasse les costumes. 

Ce que j’en dis : La Source est le ballet que j’attends avec la plus d’impatience. Les créations classiques restent rares, je crois que la dernière est Paquita. J’aime également l’idée d’aller piocher dans le répertoire, dans l’histoire de l’Opéra. Jean-Guillaume Bart, que j’ai assez peu vu danser, est reconnu pour ce type d’exercice, j’aime beaucoup son discours. Les distributions sont en plus intéressante, laissant la part belle aux jeunes pousses. Je suis vraiment curieuse de découvrir ce ballet.

Cendrillon de Rudolf Noureev, du 25 novembre au 31 décembre 2011

Ce qu’en dit Brigitte Lefèvre : C’est un très beau ballet de Rudolf Noureev (ndlr : très inspirée sur ce coup !)

Ce que j’en dis : Bon, pourquoi pas ? Cendrillon n’est pas le ballet le plus réussi de Noureev, mais il garde un certain charme. Pour les Fêtes, pour un public familial, cela peut donner une bonne soirée. Tout dépend encore une fois des distributions, j’aimerais bien que, là encore, la jeune garde soit mise en avant.

Onéguinede John Cranko, du 9 au 31 décembre 2011

Ce qu’en dit Brigitte Lefèvre : Il a été chorégraphié dans la deuxième partie du XXe siècle. Il fait partie de ces ballets classique à histoire, qui permettent aux danseurs qui ont une technique absolument formidable de pouvoir aller au-delà de la technique, de pouvoir vibrer, d’interpréter, de faire pleurer. De pouvoir émouvoir, tout simplement.

Ce que j’en dis : J’avoue que c’est une belle description. J’ai beaucoup aimé ce ballet lorsque je l’ai découvert il y a deux ans, mais je n’avais pu le voir qu’une seule fois. Tout est très bien construit, avec des personnages forts, des beaux ensembles de corps de ballets, une belle musique… C’est un ballet qui tient naturellement la route. Il faut ensuite des rôles principaux qui savent transcender cette histoire, et des castings équilibrés, ce qui avait manqué à la dernière série de Roméo et Juliette.

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Napoli par le Ballet Royal du Danemark, du 6 au 10 janvier 2012

Ce qu’en dit Brigitte Lefèvre : C’est une compagnie un peu sœur de la notre, qui s’est appuyée sur un grand pédagogue et chorégraphe, Bournonville. La troupe viendra avec son ballet emblématique, Napoli. 

Ce que j’en dis : Bon, je sais que ça râle un peu chez les habitué-es, à coup de “Encore Napoli !“. Pour ma part de jeune débutante, qui n’a jamais vu cette troupe et cette œuvre, je suis très impatiente de cette soirée.

Orphée et Euridice de Pina Bausch, du 4 au 16 février 2012

Ce qu’en dit Brigitte Lefèvre : Ce ballet nous a permis de travailler à nouveau avec Pina Bausch. C’est quelque chose d’unique. C’est un très bel ensemble musical qui viendra.

Ce que j’en dis : Circonspecte. Les échos que j’ai pu avoir de ce ballet sont assez mitigés. Les formidables prix ne vont pas aider non plus.


La Bayadère
de Rudolf Noureev, du 7 mars au 15 avril 2012

Ce qu’en dit Brigitte Lefèvre : C’est un ballet absolument magnifique, le ballet testamentaire de Nourev, le dernier qu’il a confié à l’Opéra de Paris. C’est absolument somptueux. “Je serais vivant tant que l’on dansera mes ballets”, disait-il.

Ce que j’en dis : A ne pas rater ! La Bayadère, c’est vrai que c’est un peu le ballet classique dans toute sa splendeur, avec son drame, ses jalousies, son acte de fête et son acte blanc. J’avais été assez frustrée lors de la dernière reprise, je n’avais vu qu’une distribution qui n’était pas forcément transcendante (Letestu/Martinez). Je compte bien me rattraper cette année. Et on peut rêver quant aux distributions (Princesse Myriam en Nikiya… Laissez-moi à mes illusions).

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Soirée Jerome Robbins/Mats Ek, du 13 au 31 mars 2012
Deux ballets : Dances at a gathering de Jerome Robbins et Appartement de Mats Ek

Ce qu’en dit Brigitte Lefèvre : Robbins, c’est un metteur en scène de l’émotion, avec une relation musicale très forte. Puis Appartement. On est vraiment dans le théâtre de expressionnisme, très marqué. Mats Ek a un regard très acéré sur des situations qui peuvent paraitre quotidiennes, et il les transforme par la danse, par le théâtre.

Ce que j’en dis : Je passe en général de bons moments avec les soirées mixtes. Je ne connais aucun des ballets, je parts donc dans de bonnes dispositions.

L’Histoire de Manonde Kenneth MacMillan, du 21 avril au 13 mai 2012

Ce qu’en dit Brigitte Lefèvre : Comme Onéguine, ça s’appuie aussi sur cette théâtralité, cette expressivité, qui n’empêche pas la virtuosité et le dépassement de soi (ndlr : c’était la quatrième fois qu’elle présentait la saison en trois jours, on sent comme une certaine lassitude).

Ce que j’en dis : Le ballet que j’attends avec le plus d’impatience, après La Source. Je ne connais cette œuvre que par des extraits Youtube, et j’ai vraiment hâte de découvrir le tout en vrai, c’est typiquement le genre de chose qui me plaît. Cette série devrait être marquée par les adieux à la scène de Clairemarie Osta. Et gros fantasme de balletomane, chaucun-e espère que Sylvie Guillem aura les pointes qui la chatouillent, même si absolument rien ne vient encourager ce souhait.

Roméo et Juliettede Sasha Waltz, du 7 au 20 mai 2012

Ce qu’en dit Brigitte Lefèvre : C’est une espèce d’oratorio. Ça ne peut pas être un opéra en tant que tel. C’était important que la danse conduise le bal. C’est là que j’ai demandé à Sasha Wlatz de s’occuper de la mise en scène et de la chorégraphie. Cette œuvre est maintenant demandée à Milan, Berlin… tous les grands théâtres. Ça veut dire qu’on ne s’était pas trompé ce jour-là. Où alors c’est eux qui se trompent en la programmant à leur tour. C’est vraiment rassembler toute la maison : les chœurs, l’orchestre, les chanteurs, les étoiles, le ballet.

Ce que j’en dis : Sur le principe, le concept est plutôt intéressant. Je ne connais pas ce ballet, si ce n’est par des extraits dans le film de Frederick Wiseman. Les avis généraux ne donnent pas forcément envie de se ruer sur les places. A voir, à voir…

Kabukide Maurice Béjart par le Tokyo Ballet, du 18 au 22 mai 2012

Ce qu’en dit Brigitte Lefèvre : C’est une certaine émotion de présenter cette compagnie. On pense beaucoup à eux, c’est une compagnie formidable. On va souvent au Japon, il y a beaucoup d’échange artistique. Cela nous permettra aussi que Maurice Béjart soit toujours avec nous. 

Ce que j’en dis : Très, très circonspecte. Pas sur la compagnie, mais sur le ballet choisi. En 2008, j’avais une soirée mixte Béjart, avec une oeuvre Kabuki II, ou un truc comme ça. Et c’était vraiment…long… Il faut dire que tout le monde attendait Le Boléro avec Sylvie Guillem qui venait juste après, mais tout de même. Je crois que je me contenterais de la générale.

La fille mal gardéede Frederick Ashton, du 18 juin au 15 juillet 2012

Ce qu’en dit Brigitte Lefèvre : La fille mal gardée. C’est un ballet moderne d’une certaine manière, et ça a été imaginé en 1789. Il s’est passé des petites choses à ce moment-là. Ça a été le premier ballet qui ne mettait pas en lumière des dieux, des déesses, des rois, des reines. Là, au contraire, c’est une fable très amusante, très légère. C’est peut-être en ça que c’est un ballet révolutionnaire. Comme souvent dans la danse, on rit, et c’est extrêmement dur techniquement. Et ça, ça compte  je crois, cette apparente désinvolture avec ce savoir qui est très marqué.

Ce que j’en dis : Très bien, excellente proposition ! La fille mal gardée est un petit régal, sans prétention mais très drôle. Un spectacle idéal pour les enfants, ou pour faire découvrir la danse à quelqu’un (testé et approuvé par le Geek). Le ballet est donné pendant une tournée, on devrait donc voir de jeunes rarement mis en avant, pendant que les étoiles sont aux US. Le duo russe star Natalia Ossipova et Ivan Vassiliev devrait également être invité. Une légèreté très appréciée en fin de saison, je vous le recommande. 

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L’Ecole de Danse

Les Démonstrations, du 4 au 18 décembre 2011

Ce qu’en dit Brigitte Lefèvre : La plupart des danseur-se-s viennent de l’école de danse. Il y a à peu près 150 jeunes. C’est une manière pour le public de pouvoir voir comment ça se construit, comment on fait un danseur, comme il rentre dans les classes. Et puis au fur et à mesure, on voit l’évolution, comment il grandissent.

Ce que j’en dis : Moi, j’aime bien les Démonstrations. Beaucoup pour les professeurs, je ne me lasse pas des leçons de certain-e-s. C’est aussi un bon moyen de découvrir les élèves de première division.


Spectacle de l’Ecole, du 7 au 13 avril 2011

Trois ballets : Variations de Violette Verdy, Le bal des cadets de David Lichine, Symphonie en trois mouvements de Nils Christe.

Ce qu’en dit Brigitte Lefèvre : Ce sont trois œuvres très différentes, toutes très marquées pour faire à la fois progresser les élèves et montrer leur talent. Variations est un ballet composé sur des variation de Brahms. Le Bal des cadets, c’est absolument charmant, ça évoque l’intérieur d’une institution très chic et très tenue lors d’une soirée de gala.

Ce que j’en dis : Les spectacles de l’Ecole, ce sont toujours des bons moments où l’on en ressort rarement déçu. Le bal des cadets est un excellent choix, parfait pour des ados. Variations est plus austère, mais permet de mettre en valeur les qualités techniques et musicales des grands élèves. Je ne connais pas le dernier.

Le Ballet de l’Opéra de Paris en tournée

Tournée à Biarritz

Soirée Lifar/Petit/Béart (Suite en blanc, L’Arlésienne et Le Boléro), à la Gare du Midi de Biarritz le vendredi 28 octobre à 20h30, le samedi 29 octobre à 15 heures et 20h30.

Tournée à Singapour

Giselle de Jean Coralli et Jules Perrot, du 20 au 22 janvier 2012 (4 représentations).

Tournée américaine

La Compagnie partira trois semaines aux Etats-Unis en juin et juillet 2012, pays dans lequel elle ne s’était pas rendue depuis des années. Elle passera par New York, Washington, et pour la première fois Chicago.

Giselle de Jean Coralli et Jules Perrot

Du 26 au 28 juin au Harris Theater de Chicago.
Du 5 au 8 juillet au John Kennedy Center de Washington.
Du 13 au 19 juillet au David Koch Theater de New York.

Soirée Lifar/Petit/Béart 

Du 29 juin au 1er juillet au Harris Theater de Chicago.
Du 11 au 15 juillet au David Koch Theater de New York.

Orphée et Eurydice de Pina Bausch

Du 20 au 22 juillet au David Koch Theater de New York.

Les artistes du Ballet de l’Opéra de Paris en gala

De temps en temps, les danseurs et danseuses de l’Opéra de Paris se produisent en gala, en banlieue parisienne le plus souvent, mais aussi en province. Ce sont en général des groupes d’une dizaine de personnes, qui mélangent dans leur spectacle des extraits des grands ballets classiques, voir même des chorégraphies de leur cru. Pour le public, cela permet de les voir en soliste, alors qu’ils-elles font souvent partie du corps de ballet. 

De nouvelles dates sont régulièrement publiées par ici. Voici déjà celles annoncées.

Incidences chorégraphique, groupe mené par Bruno Bouché

Théâtre de Fontainebleau, le samedi 17 et dimanche 18 décembre 2011.

Friedrichshafen (Allemagne), une soirée autour des Ballets Russes, le samedi 19 et dimanche 20 mai 2012.

Karl Paquette et ses étoiles, groupe de jeunes danseur-se-s autour de l’étoile

Théâtre Louis Aragon à Tremblay-En-France, le samedi 15 octobre 2011 à 20h30.

Théâtre Espace Coluche à Plaisir, le vendredi 6 janvier 2012 à 21 heures.

Théâtre des Hauts-de-Seine à Puteaux, le dimanche 15 janvier 2012 à 15 heures.

Salle Poirel de Nancy, le 29 janvier 2012 à 16 heures.

Le Pin galant à Mérignac, le dimanche 11 mars 2012 à 14h30. 

Les solistes de l’Opéra de Paris (sans plus de précision)

Théâtre Roger Barat de Herblay, le dimanche 16 octobre à 16 heures.

Théâtre Charles-Dullin à Le Grand-Quevilly, le dimanche 6 novembre 2011 à 15 heures.

L’Atrium de Chaville, le dimanche 12 février 2012 à 16 heures.

Carte blanche à Agnès Letestu, en collaboration avec le groupe 3e étage de Samuel Murez

Opéra-Théâtre de Massy, le dimanche 16 octobre 2011 à 16 heures.

Stars et tutus, groupe mené par Alexandra Cardinale, mélangeant solistes de l’Opéra de Paris, du Ballet de Marseille et de la troupe Julien Lestel.

Casino-Théâtre Barrière de Toulouse, le dimanche 3 juin 2012 à 15 heures.

Corbeau, de Myriam Gourfink, avec la quadrille Gwenaëlle Vauthier

Studio du CDC à Toulouse, du mardi 29 au mercredi 30 novembre 2011, à 19 heures.

Et vous, qu’est-ce qui vous tente cette année ? Que pensez-vous aller voir et laisser de côté ?  

Commentaires (8)

  • Ah j’avais oublié qu’il y avait un gala à Massy. Je vais essayer d’y aller c’est à côté de chez moi!

    Sinon, c’est une saison qui donne vraiment envie. Il y aura pleins de découvertes (pour ma part) avec le Lifar, la Source, Manon…
    J’ai plus que ha^te de revoir Onéguine avec la distribution Ciaravola/ Moreau juste parfaite.
    Et puis la Bayadère où je compte bien me ratraper après la grosse frustration de l’an dernier!!
    J’espère en tout cas qu’on aura droit à de belles distributions. C’était une peu le problème l’an dernier. Ballets allechants mais distrib parfois décevantes.

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  • Orpheus und Eurydike> Circonspecte. Les échos que j’ai pu avoir de ce ballet sont assez mitigés.
    La première fois que je suis allé à Garnier, c’était pour ce ballet et j’en ai un très bon souvenir. Il faut croire que dès qu’il y a de la voix, les balletomanes n’aiment pas…
    > Et vous, qu’est-ce qui vous tente cette année ?
    Un peu tout. A priori, sauf empêchement, j’irai voir tous les ballets. Ceux qui m’attirent le plus sont La Source pour le côté vaguement indianisant, La Fille mal gardée parce que c’est trômignon et Onéguine que j’avais adoré en 2009 (les deux pas de deux Onéguine-Tatiana !!!) avant même de lire le roman de Pouchkine. Sinon, j’aime beaucoup aussi voir l’école de danse (démonstrations et spectacle).

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  • Audrey

    Je me décide enfin à commenter !
    A peu près tout aussi, par contre je pense que j’en resterai à une distribution à chaque fois. Quoiqu’il est probable que je laisse tomber Orphée et Eurydice si le porte monnaie ne suit pas.
    Mais bon, j’ai ma place pour La Source, celle pour Onéguine, je vais bientôt envisager de me bouger pour Phèdre/Psyché… ça va le faire 🙂

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  • Karine

    J’ai déjà mes billets pour 4 ballets, mais je n’exclus pas d’aller en voir d’autres, surtout après avoir lu cet article.
    Je vais d’ailleurs moi aussi me mettre dans les starting-blocks pour réserver la Carte Blanche à Agnès Letestu à Massy, vu que j’habite aussi à côté !

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  • Ce sont certainement La Source et L’histoire de Manon (uniquement vu en vidéo jusqu’à présent) que j’attends avec le plus d’impatience! Bien entendu, je ne me lasserai pas de revoir La Bayadère (on verra les distributions), et surtout Oneguine qui m’avait laissé un excellent souvenir! (J’espère fortement revoir la distribution Ciaravola/Moreau!)
    Par contre, je laisserai certainement de côté Orphée et Eurydice..
    En attendant, il me tarde de voir la soirée Lifar/Ratmansky, et je suis curieuse de découvrir Phèdre.

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  • J’ai ma place pour la Source et j’attends de voir si je peux avoir une place pour le 10 decembre pour Oneguine. Je voudrais coupler avec les démo le 11.
    Je compte bien venir pour la Bayadère aussi.
    Quant à la Fille, peut-être que j’irai la voir à Londres. Je verrai.

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  • Shaleen

    Ah vous les Français vous êtes trop chanceux. Une belle saison. Dommage que j’habite sur un autre continent. 😥

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  • @Shaleen: C’est vrai que l’on a souvent tendance à se plaindre, alors que nous avons globalement une belle saison qui nous attend, et surtout beaucoup de choix 🙂

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