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Agenda danse – Décembre 2016

Le Lac des Cygnes, Casse-Noisette au cinéma, Don Quichotte, mais aussi du cirque, les Démonstrations et Portes ouvertes des écoles de danse, Mourad Merzouki ou Akram Khan donnent un mois de décembre bien chargé pour les spectacles de danse. Découvrez notre sélection du mois région par région. 

 

Les spectacles de danse à Paris et en Ile-de-France

Le Lac des Cygnes de Rudolf Noureev par le Ballet de l’Opéra de Paris

À peine deux ans après sa dernière reprise, Le Lac des Cygnes de Rudolf Noureev est de retour sur scène. Malgré un premier acte un peu froid et des danses de caractère peu inspirées, cette version est l’une des plus belles qui soient. Il y a d’abord un vrai trio de personnages, une ambiance particulière, un Prince qui a quelque chose à jouer et un sublime quatrième acte, loin des ambiances Walt Disney de certaines versions. Peu de jeunes talents pour les rôles principaux cette saison, mais des Étoiles qui pour certaines vont faire leur prise de rôle. À suivre de près. 

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Notre dossier sur Le Lac des cygnes

Du 7 au 31 décembre à l’Opéra Bastille

Le Lac des Cygnes

Le Lac des Cygnes – Ballet de l’Opéra de Paris

Until the Lions d’Akram Khan

Akram Khan, c’est un peu l’un des chorégraphes chouchous de Danses avec la plume. Pour sa danse vive et explosive, pour son humour, sa tendresse et son inventivité, pour la façon de bouger unique Akram Khan, vrai mélange des genres entre danse contemporaine et danse indienne. Cela devrait être de nouveau le cas dans sa nouvelle création Until the Lions. La pièce plonge dans la fresque du Mahabharata, à travers le livre de Karthika Naïr Until the Lions : Echoes from the Mahabharata. Le chorégraphe travaille sur un passage en particulier, celui de la jeune fille Amba. Elle aime Shalva mais est choisie par Bheeshma qui a fait vœu de célibat…

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Du 5 au 17 décembre à La Villette

 

La Belle au bois dormant de Jean-Guillaume Bart par le Yacobson Ballet

Les troupes russes sont nombreuses à tourner en France, d’un niveau variable. Le Yacobson Ballet fait partie des bonnes. Pour sa tournée 2016-2017, la troupe propose d’ailleurs une nouveauté : La Belle au bois dormant revue par Jean-Guillaume Bart, Étoile de l’Opéra de Paris et aujourd’hui professeur au CNSMDP. On peut donc s’attendre à une version rendant hommage à la grande tradition de la danse académique. À découvrir ! 

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Du 6 au 31 décembre en tournée en région parisienne et à Cannes

 

La Fête (de l’insignifiance) de Paulo Ribeiro

Paulo Ribeiro célèbre les vingt ans de sa compagnie. Pour l’occasion, il invite le public à une cérémonie dont il a le secret. Le chorégraphe portugais n’a jamais cessé de défricher des territoires de danse dans un processus créatif en perpétuelle évolution. “La fête peut être tout, à partir du moment où c’est une manifestation de plaisir. Même une simple caresse est une fête…“, explique  Paulo Ribeiro.

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Du 7 au 9 décembre au Théâtre de Chaillot

 

Letter to a man de Robert Wilson

Voilà une pièce de théâtre qui devrait intéresser les amateurs et amatrices de danse. Car le metteur en scène Robert Wilson s’empare du Journal de Nijinski, et choisit comme acteur Mikhaïl Barychnikov. Après s’être séparé de Diaghilev, Nijinsky se met à écrire pendant six mois un journal intime, sur lui, sur la danse, sur l’art ou la religion. Il sombre peu à peu dans la folie, et est interné peu de temps après la fin de l’écriture de ce journal. Un texte mythique joué par un danseur mythique.

Du 15 décembre au 21 janvier à l’Espace Pierre Cardin

 

Soirée Jiří Kylián par le Ballet de l’Opéra de Paris

Aurélie Dupont a choisi Jiří Kylián pour sa première programmation en tant que directrice, un chorégraphe qu’elle connaît bien, après le retrait d’une création de Benjamin Millepied. Jiří Kylián fait partie des grands marqueurs en danse contemporain de la compagnie. Le programme est composé de la reprise de Bella Figura, l’un des chefs-d’oeuvre du chorégraphe, et des entrées au répertoire de Tar and Feathers ou Symphonie de psaumes. Le tout par les Étoiles Dorothée Gilbert ou Alice Renavand, ainsi que de fortes personnalités contemporaines du corps de ballet. Seul regret : l’absence d’orchestre.

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Du 29 novembre au 31 décembre au Palais Garnier

 

Roméo et Juliette d’Angelin Preljocaj

Roméo et Juliette d’Angelin Preljocaj fête ses 20 ans, et même un peu plus si l’on compte sa création en 1990 pour le Ballet de l’Opéra de Lyon. Un ballet d’autant plus important pour le chorégraphe qu’il s’agit de sa première création pour un grand ensemble d’interprètes. L’occasion ici de revoir cette pièce devenu membre à part entière du répertoire de la danse contemporaine. “Tous deux voudraient être ailleurs, chacun aspire à ce que détient l’autre. Le choc passionnel va leur permettre de sauter le pas, d’oser échapper au sort qu’on leur avait tracé“, raconte Angelin Preljocaj.

Du 16 au 24 décembre au Théâtre de Chaillot

 

Wade in the Water de Clément Debailleul, Raphaël Navarro et Aragorn Boulanger par la Compagnie 14:20

La Compagnie 14:20, initiatrice du mouvement de la Magie nouvelle, crée une allégorie de la lutte, poétique et politique. Que traversons-nous lorsque s’annonce l’inéluctable ? Sur la musique vibrante d’Ibrahim Maalouf, les corps bravent la gravité, l’énigme et l’absolu.

Du 13 au 24 décembre au 104

 

La grenouille avait raison de James Thierrée

James Thierrée revient avec une nouvelle création, poétiquement (comme toujours) appelée La grenouille avait raison. Rien n’est dit sur cette nouvelle pièce, si ce n’est qu’elle sera dans les codes de l’artiste : un mélange entre danse, cirque et théâtre pour un monde imaginaire surprenant et unique en son genre. James Thierrée est un artiste à part, à ne pas manquer.

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Du 1er au 31 décembre au Théâtre du Rond-Point

La grenouille avait raison de James Thierrée

La grenouille avait raison de James Thierrée

Chotto Desh d’Akram Khan

Desh (“terre natale”) était l’un des derniers spectacles d’Akram Khan, un superbe et long solo où le chorégraphe revient sur son enfance et le Bangladesh (dont ses parents sont originaires), comme un conte initiatique. Chotto Desh est la version pour enfant de Desh, dansé cette fois-ci par un danseur de sa compagnie.

Du 21 décembre au 6 janvier au Théâtre des Abbesses

 

Démonstrations de l’École de Danse de l’Opéra de Paris

Les habituelles Démonstrations de l’École de Danse de l’Opéra de Paris prennent leurs quartiers comme d’habitude en décembre au Palais Garnier. Pendant toute une journée, les classes montrent leur travail au quotidien sur scène. Le rythme rapide (entre 15 et 25 minutes par classe sur scène) fait que l’on ne s’ennuie jamais lors de ces journées. Les plus jeunes enfants apprécieront les matinées réservées aux petites divisions, avec les cours de mime et d’expression musicale toujours très drôles. Les ados iront plutôt aux après-midi avec les grandes classes et cours d’adage.

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Les 3, 11 et 17 décembre au Palais Garnier

Démonstrations 2015 de l'École de Danse de l'Opéra de Paris - La troisième division filles

Démonstrations 2015 de l’École de Danse de l’Opéra de Paris – La troisième division filles

Voces, anthologie de Sara Baras par le Sara Baras Ballet Flamenco

Sara Baras, danseuse et chorégraphe de flamenco emblématique de la nouvelle génération, a déjà présenté Voces au Théâtre des Champs-Élysées, en 2014. Pour cette pièce, Sara Baras a fait appel à ses grands Maîtres du flamenco : Santana de Yepes, Paco de Lucia, Camarón de la Isla, Antonio Gades, Enrique Morente et Moraíto. Pendant plus d’une heure, elle refait ainsi vivre l’histoire moderne du flamenco à travers leurs voix, leurs images et ce qu’ils ont inspiré à la danseuse qu’elle est d’aujourd’hui. Le spectacle a du mal à se détacher de ces références, mais Sara Baras est une telle interprète que tout passe sur scène. À voir pour découvrir le tempérament de feu de cette danseuse unique.

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Du 21 au 28 décembre au Théâtre des Champs-Élysées

 

ÉtuDiANSE op. 5 par le CNSMDP

Les premiers travaux sur scènes des classe classique et contemporaine ÉtuDiANSE (ex-jeune ballet) du CNSMDP. Au programme cette année : des reprises d’oeuvres de Lucinda Childs, Rachid Ouramdane, Jean Guizerix et Yong Geol Kim.

Du 2 au 6 décembre au CNSMDP

 

 

Les projections en France

Les retransmissions en direct au cinéma jouent les valeurs sûres pour le mois de décembre : Casse-Noisette. Pathé Live propose la version du Ballet du Bolchoï, une représentation enregistrée en 2014 avec dans les rôles principaux Denis Rodkin et Anna Nikulina. Le Royal Ballet de Londres a choisi le live, mais avec une distribution certes excellente mais identique à celle de l’année dernière (Lauren Cuthbertson, Federico Bonelli, Francesca Hayward et Alexander Campbell). Soit deux versions dans la grande tradition de Noël, de quoi ressortir les yeux brillants.

Casse-Noisette par le Royal Ballet de Londrs le 8 décembre

Casse-Noisette par le Ballet du Bolchoï le 18 décembre

Casse-Noisette - Royal Ballet de Londres

Casse-Noisette – Royal Ballet de Londres

 

Les spectacles de danse à Lyon et sa région

Carte blanche à Mourad Merzouki

Mourad Merzouki vient du hip hop et a nourri une nouvelle forme de danse contemporaine. Il est aujourd’hui l’un des chorégraphes français incontournables, enthousiasmant par sa danse virtuose, frappante et poétique. À la Maison de la Danse de Lyon, il présente trois spectacles : Correria Agwa, créé en 2010 avec des danseurs brésiliens rencontrés à la Biennale de la Danse en 2006, son immense succès public et critique Pixel et une soirée Cartes blanches marquant les 20 ans de sa compagnie Käfig. À ne pas manquer.

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Correria Agwa du 11 au 15 décembre à la Maison de la Danse, Cartes blanches du 12 au 16 décembre à la Maison de la Danse et Pixel du 18 au 21 décembre à la Maison de la Danse.

Pixel de Mourad Merzouki

Pixel de Mourad Merzouki

Béjart fête Maurice par le Béjart Ballet Lausanne

2017 est une année particulière pour le Béjart Ballet Lausanne : elle marque les 30 ans de la création de la compagnie et les 10 ans de la mort de Maurice Béjart. Les festivités démarrent avec le programme Béjart fête Maurice. Le contenu de la soirée n’est pas encore dévoilée, elle devrait proposer les grands ballets du chorégraphe.

Du 16 au 18 décembre et du 20 au 22 décembre au Théâtre de Beaulieu de Lausanne

 

Conceal / Reveal de Russell Maliphant

Chorégraphe britannique qui compte sur la scène mondial, Russell Maliphant présente dans cette soirée trois pièces phares de son répertoire, dont Broken Fall qui a été à l’origine par la grande danseuse Sylvie Guillem. Dans ses pièces, Russell Maliphant joue sur une danse fluide et des éclairages qui sculptent les corps, entre ombre et lumière.

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Les 7 et 8 décembre à la Maison de la Danse de Lyon

 

Portes ouvertes du CNSMDL

Le CNSMDL propose ses Portes ouvertes des classes de danse à la fin du premier trimestre. Les élèves des différentes classes montrent au public un aperçu de leur différents cours, disciplines principales (danse classique et contemporaine) et complémentaires.

Le samedi 3 décembre au Grenier d’Abondance

 

Y olé ! de José Montalvo

Avec Y Olé !, José Montalvo mélange, comme à son habitude depuis Paradis, différents styles de danse. Le chorégraphe juxtapose aussi musiques savante et populaire. Dans ce diptyque, où il convoque contemporain, hip-hop et flamenco, il rend hommage autant à ses pairs chorégraphes qu’aux fêtes bigarrées de son enfance.

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Du 30 novembre au 4 décembre à la Maison de la Danse

Y Olé ! de José Montalvo

Y Olé ! de José Montalvo

 

Les spectacles de danse dans le Sud-Est

Monaco Dance Forum

Chaque année, le festival Monaco Dance Forum propose une riche affiche de danse, allant chercher des compagnies de tous horizons. Au programme cette année : Wang Ramirez, Peeping Tom, le Ballet de Marseille, la Compagnie de danse contemporaine de Cuba ou le Patin Libre, troupe de danse (la vraie) sur glace. Le tout s’accompagne de worshops, rencontres avec les chorégraphes et conférences. 

Du 10 au 21 décembre à Monte-Carlo

 

Don Quichotte d’Éric Vu-An par le Ballet Nice-Méditerranée 

Pour les Fêtes de fin d’année, place à un nouveau Don Quichotte, dans la version d’Éric Vu-An. Cette nouvelle production devrait être tout à fait dans la lignée du grand ballet de Petipa, le directeur voulant “rendre hommage à la grande tradition classique et mettre en lumière le talent de ses interprètes“. Un ballet exigeant, qui dure presque trois heures et aux multiples variations virtuoses, véritable shoot de joie de danser lorsqu’il est à son sommet. À voir cependant comment le ballet sera agencé pour une petite troupe.

Du 24 au 31 décembre à l’Opéra Nice Côte d’Azur

 

Aleatorio de Jean-Christophe Maillot par les Ballets de Monte-Carlo

On parle d’amour pour cette nouvelle création de Jean-Christophe Maillot, où féminité, masculinité et éternelles tentatives d’apprivoisement tiennent une place centrale. Les courbes, les lignes, les mains, les pointes sont ici au service d’une danse sensuelle et envoûtante.

Du 16 au 18 décembre à l’Opéra de Monte-Carlo

 

La Belle de Jean-Christophe Maillot par les Ballets de Monte-Carlo

Pour les Fêtes, Jean-Christophe Maillot a voulu reprend sa relecture de La Belle au bois dormant. Mais pas question pour le chorégraphe d’une simple reprise. “J’ai envie de retravailler ce ballet, retravailler les costumes, la production, affiner l’écriture“, expliquait-il sur Danses avec la plume cet été. Le chorégraphe propose toujours des relectures des grands ballets à sa façon, utilisant le langage classique avec amour tout en plaçant son ballet dans une nouvelle modernité. L’Étoile du Bolchoï Olga Smirnova pourrait bien être invitée de luxe sur cette production. Deux raisons de faire le voyage sur la Côte d’Azur.

Du 28 décembre au 3 janvier à l’Opéra de Monte-Carlo

 

 

Les spectacles de danse dans le Sud-Ouest

Coppélia de Charles Jude par le Ballet de l’Opéra de Bordeaux

Le Ballet de l’Opéra de Bordeaux reprend un grand classique pour les Fêtes : Coppélia dans la version de Charles Jude. Le directeur de la troupe a transposé l’histoire dans l’Amériques des années 1950, avec l’ambiance cinéma hollywoodien qui va avec. Swanilda et Frantz deviennent ainsi Swanie et Fonzie. Une production efficace et joyeuse qui met tous les talents de la troupe en valeur, même si elle commence à avoir vécu.

Du 14 au 31 décembre au Grand-Théâtre de Bordeaux

Coppélia de Charles Jude (Ballet de l'Opéra de Bordeaux)

Coppélia de Charles Jude (Ballet de l’Opéra de Bordeaux)

Soirée Maguy Marin/Kader Belarbi par le Ballet du Capitole

Place à une soirée résolument contemporaine pour le Ballet du Capitole. Kader Belarbi reprend rapidement Salle des pas perdus, une de ses créations entrée au répertoire de la troupe en avril 2016. “Quatre personnages décalés traînent leurs souvenirs et leurs valises. Ils se rencontrent et voyagent dans leur mémoire“. Reprise aussi de deux oeuvres de Maguy Marin : Eden (Duo) évoque “l’amour originel, celui du temps de l’innocence“, Groosland se mêle à la partition de Bach.

Du 13 au 17 décembre au Théâtre Garonne

 

La Belle et la Bête de Thierry Malandain par le Malandain Ballet Biarritz

Après avoir été créé à Biarritz en décembre 2015, La Belle et la Bête de Thierry Malandain est partie en tournée à l’international. Sa tournée française a démarré en 2016, après la Biennale de la Danse de Lyon. La trame du conte se mêle à une sorte de tragédie, celle de l’Artiste en train de créer, de faire et défaire ses personnages, pour finalement se retrouver seul. Un mélange narration/abstraction qui fonctionne, sans oublier la poésie.

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Lire l’interview de Thierry Malandain sur La Belle et la Bête

Du 21 au 23 décembre à la Gare du Midi

La Belle et la Bête - Malandain Ballet Biarritz

La Belle et la Bête – Malandain Ballet Biarritz

 

Les spectacles de danse dans le Nord

Trois Grandes Fugues par le Ballet de l’Opéra de Lyon

Le Ballet de l’Opéra de Lyon fait un deuxième passage dans la programmation, avec un programme de haute volée : une soirée rassemblant Grosse Fugue de Maguy Marin, Die Grosse Fuge d’Anne Teresa de Keersmaeker et une création de Lucinda Childs. Soit trois pièces sur la superbe partition de Beethoven, Grosse Fugue a inspiré beaucoup de chorégraphes. La relecture de Maguy Marin montre quatre danseuses en robes rouges, celle d’Anne Teresa de Keersmaeker sept danseurs et une danseuse en complets noirs et chemises blanches. Leurs point communs : une écriture chorégraphique ciselée d’une magnifique musicalité. Viendra s’y ajouter une création de Lucinda Childs. L’occasion ainsi de voir trois des chorégraphes fondamentaux du répertoire du Ballet de l’Opéra de Lyon.

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En répétition avec Lucinda Childs

Le 6 décembre au Théâtre du Beauvaisis de Beauvais, du 29 novembre au 17 décembre dans plusieurs lieux d’Ile-de-France dans le cadre du Festival d’Automne

Grosse Fugue d'Anne Teresa de Keersmaeker

Grosse Fugue d’Anne Teresa de Keersmaeker

 

Commentaires (2)

  • ECX

    Merci pour ce panorama
    Qu’en est-il des spectacles dans l’Est ?

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