Agenda danse – Février 2018
On se réchauffe en ce mois de février en fréquentant avec assiduité les théâtres pour de nombreux spectacles de danse. La reprise d’Onéguine de John Cranko, le Béjart Ballet Lausanne en tournée, des créations, le Prix de Lausanne, du cirque, des jeunes troupes à découvrir, le CNSMDP en scène… Les spectacles de danse à ne pas manquer en février, région par région.
Les spectacles de danse à Paris et sa région
Soirée Millepied/Béjart par le Ballet de l’Opéra de Paris
Et bien voilà, le retour de Benjamin Millepied aura été rapide. Il sera intéressant de voir comment Daphnis et Chloé, qui a été plutôt agréable lors de sa création en 2013, a vieilli. Dommage néanmoins qu’entre-temps, l’oeuvre soit donnée par le Ballet de Berlin et l’ABT. Le retour du Boléro de Maurice Béjart s’annonce séduisant. Trois solistes sont pour l’instant prévu : Marie-Agnès Gillot pour l’y revoir une dernière fois avant ses adieux, la prise de rôle qui s’annonce fort intéressante de Mathias Heymann et Amandine Albisson, qui y fera aussi ses débuts.
Le Boléro de Maurice Béjart – Quatre interprètes qui ont marqué ce ballet mythique
Gros plan sur les distributions
Du 24 février au 24 mars, avant-première jeune le 23 février, à l’Opéra Bastille
OSCYL de Héla Fattoumi et Éric Lamoureux
Que veut dire OSCYL, le titre de la pièces des co-directeur/rice/s du CCN de Bourgogne Franche-Comté à Belfort ? Une invention, à partir du mot « oscillation ». Troublant pas de deux entre humains et objets, le duo explore un nouveau mode de relation à l’Autre, du toucher à l’esquive, de l’imitation à la danse de couple.
Du 22 au 24 février au Théâtre de Chaillot
La Flûte enchantée de Maurice Béjart par le Béjart Ballet Lausanne
Créé en 2004, La Flûte enchantée est l’une des dernières oeuvres de Maurice Béjart, décédé en 2007, et reprise par le Béjart Ballet Lausanne. Le ballet suit à la trace la partition de l’opéra de Mozart, n’ayant d’autre ambition que de retranscrire les émotions de la partition. Et comme l’opéra, le ballet se teinte de multiples sens : conte fantastique au premier degré, rite philosophique et initiatique en allant un peu plus loin, sans oublier les allusions à la franc-maçonnerie. Au final, La Flûte enchantée est portée facilement par la merveilleuse partition, et des interprètes toujours aussi charismatiques.
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Du 7 au 11 février au Palais des Congrès
Carmen(s) de José Montalvo
Encore un habitué du Théâtre de Chaillot ! José Montalvo se penche pour sa nouvelle création sur le célèbre mythe de Carmen. « J’aime Carmen parce que cette pièce solaire me permet de réfléchir à des questions qui me taraudent : l’immigration, les valeurs du métissage, l’enfance« , explique le chorégraphe, qui s’est inspiré de la musique de Bizet. Une pièce où imagination se mêlent aux souvenirs personnels, une rencontre qui devrait être séduisante.
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Du 1er au 23 février au Théâtre de Chaillot
Onéguine de John Cranko par le Ballet de l’Opéra de Paris
Enième reprise du chef-d’oeuvre Onéguine de John Cranko par le Ballet de l’Opéra de Paris. La reprise de trop ? On ne se lasse pourtant pas de ce ballet néo-classique, marqué ces dernières années par les interprétations d’Isabelle Ciaravola et Hervé Moreau. La jeune génération est bien présente cette saison dans les distributions, avec les prises de rôle de Hugo Marchand (Onéguine), Laura Hecquet et Sae Eun Park (Tatiana) ou Léonore Baulac (Olga) à suivre de près, tout comme les reprises des très en formes Dorothée Gilbert ou Ludmila Pagliero.
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Gros plan sur les distributions
Du 10 février au 3 mars, avant-première jeune le 9 février, au Palais Garnier
Scena Madre d’Ambra Senatore – CCN de Nantes
Ambra Senatore, chorégraphe de danse-théâtre à la douce ironie, s’inspire du cinéma pour sa nouvelle création, Scena Madre. Les sept danseur.se.s-interprètes se projettent dans un espace-temps fragmenté. Le flux du mouvement y est incrusté de focus, d’effets de zoom. Et de quoi parle ce film-spectacle ? De l’humain, tout simplement, du partage et de « la diversité précieuse de chacun.e« .
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Du 1er au 4 février au Théâtre des Abbesses
Oh Louis… we move from the ballroom to hell while we have to tell ourselves stories at night so that we can sleep… de Robyn Orlin
Pour cette nouvelle création, Robyn Orlin a travaillé main dans la main avec un interprètes très différent de son univers, à savoir Benjamin Pech, Danseur Étoile de l’Opéra de Paris et aujourd’hui maître de ballet à l’Opéra de Rome. Les deux artistes se sont penchés sur la figure de Louis XIV, peut-être la première Étoile du monde de la danse classique.
Du 15 au 19 février à l’Espace Pierre Cardin
d’à côté de Christian Rizzo – CCN Montpellier
Ni princes ni princesses dans cette création jeune public de Christian Rizzo. Mais des perceptions, des sensations et des images, puisées dans l’imaginaire du chorégraphe qui met en scène ce « conte abstrait« . Une programmation du Théâtre de la Ville accueilli par le Théâtre de Chaillot.
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Du 2 au 8 février au Théâtre de Chaillot
Humanoptère de Clément Dazin
Quand la danse se mêle au jonglage… Des lancers de balles vertigineux comme pour dialoguer avec le ciel ou rebondir sur l’immensité de l’espace. Des jets directs et souples à la fois, culminant dans un jeu optique magnétique. Entre métaphore existentielle et vision plastique, le jongleur et metteur en scène Clément Dazin croise les atouts de sa pratique pour en exploiter tout le potentiel. Humanoptère se veut être « un éloge de la lenteur en réponse à l’urgence de ralentir« , autour de six jongleurs et jongleuses.
Two, seul d’Annabelle Bonnéry
Annabelle Bonnéry a été danseuse chez Jean-Claude Gallotta ou Maguy Marin. Devenue chorégraphe, Annabelle Bonnéry est déjà venue au Théâtre de Chaillot en 2012. Elle y revient avec Two, seul où elle dialogue avec l’Afrique, couchée sur un lit de briques, avec le contre-ténor congolais Serge Kakudji qui revisite le Stabat Mater de Vivaldi.
Du 15 au 17 février au Théâtre de Chaillot
Ce qui est à l’oeuvre par les classes de danse du CNSMDP
Ce qui est à l’oeuvre est un temps d’apprentissage du répertoire de la part des DNSP3. Les classes présentent leur travail sur des pièces phares du répertoire classique et contemporain, avec souvent des explications et corrections du. de la professeur.e. La soirée se termine avec des compositions personnelles des élèves. Programme détaillé dévoilé un peu plus tard.
Job de Lucie Augeai et David Gernez par la Compagnie Adéquate
Lucie Augeai et David Gernez commencent à faire leur petit bout de chemin avec leur Compagnie Adéquate. Leur premier duo Noeuds, créé en 2011, a été remarqué. Job, leur nouvelle pièce, est passée par les Hivernales et Le Temps d’aimer. Les deux chorégraphes s’interrogent ici sur un métier bien particulier : celui de danseur/danseuses. Entouré.e.s de cinq autres interprètes, Lucie Augeai et David Gernez évoluent ensemble dans une danse collective qui interroge et décortique le métier de danseur-interprète, à l’engagement si singulier et à la vocation toujours à vif.
Le 2 février au Théâtre Paul Eluard de Bezons
Suresnes cités danse
À l’heure ou les théâtres se remettent doucement des fêtes, le Théâtre de Suresnes jean Vilar vibre avec l’incontournable festival Suresnes cités danse. Pendant un mois, le meilleur du hop prend possession de la scène, entre créations, mélanges des genres, têtes d’affiche et jeunes talents. Pour cette édition 2018, place à un Sacre vu par David Drouard, Mourad Merzouki bien entouré, 25 bougies soufflées par Farid Berki, une nouvelle pièce de Jann Gallois, la chorégraphe à suivre de la jeune génération ou une création d’Andrew Skeels.
Chronique de (S)acre de David Drouard
Lire la chronique de la Carte blanche de Mourad Merzouki
Lire la chronique de 25 ans de hip hop de Farid Berki
Du 12 janvier au 11 février au Théâtre de Suresnes Jean Vilar
Faits d’hiver
Les amateurs et amatrices de danse contemporaine ne manquent pas chaque année Faits d’hiver, à sa programmation éclectique riche de découvertes. Le festival fête ses années ses 20 ans d’existence, et propose pour l’occasion 34 représentations dans 10 lieux parisiens (dont pour la première fois La Gaîté lyrique), dont 8 créations et deux premières à Paris. Place ainsi à Yuval Pick, Aude Lachaise ou Lionel Hoche, et la parution d’un livre pour marquer cet anniversaire.
Du 13 janvier au 17 février à Paris
Les spectacles de danse à Lyon et sa région
Deux mille dix sept Maguy Marin par la Compagnie Maguy Marin
Une création de Maguy Marin est toujours un événement ! Dans cette nouvelle création, elle s’engage dans une nouvelle aventure. « En 1928, Edward Bernays, le neveu américain de Sigmund Freud, a écrit un livre intitulé ‘Propaganda’, véritable petit guide pratique, qui expose cyniquement et sans détour les grands principes de manipulation mentale de masse, ce qu’il appelait ‘la fabrique du consentement’. En 2017, l’obsolescence des hommes et des femmes qui ne s’adaptent pas aux cases de la concurrence et de la rentabilité est programmée d’avance« , explique la chorégraphe, pour une pièce qui réunit dix interprètes.
Les 27 et 28 février à la Maison de la Danse
Le Prix de Lausanne
Concours incontournable du monde de la danse, le Prix de Lausanne est l’un des grands événements de l’hiver. Pendant une semaine, plusieurs dizaines de jeunes talents venus du monde entier suivent cours de danse et coaching sous l’oeil du jury avant de passer une variation classique et contemporaine sur scène pour les sélection. Une vingtaine est choisi pour la finale, toujours suivie avec passion. De nombreuses Étoiles ont été primées à Lausanne avant de démarrer leur brillante carrière. Une belle occasion de découvrir les talents de demain.
Gros plan sur le Prix de Lausanne 2018
Du 28 janvier au 3 février 2018 au Théâtre de Beaulieu à Lausanne
Urban de Felicity Simpson, Jean-Yves Penafiel, Mark Storor, Katie Pearson et Carlos Neto – Circolombia
Issus de l’École Nationale de Colombie Circo Para Todos, les seize interprètes acrobates, chanteur.se.s et danseur.se.s d’Urban ont créé un spectacle qui évoque librement leur quotidien dans les rues de Cali. Mené par des artistes sur-énergiques, ce show multiplie les numéros époustouflants, où la vie du barrio se raconte en toutes sortes de confrontations acrobatiques à couper le souffle. Avec en prime des artistes qui chantent et rappent en live sur un son 100% hip hop et reggaeton.
Du 1er au 9 février à la Maison de la Danse
Soirée Maliphant/Millepied/Forsythe par le Ballet de l’Opéra de Lyon
Soirée de répertoires pour trois ballets que la troupe lyonnaise connaît bien. Peut-être même un peu trop bien, ces pièces ont été beaucoup reprises ces dernières saisons. Avec Critical Mass, Russell Maliphant propose un duo où des phases d’empoignades coulées, de déséquilibres retenus, de souples acrobaties et de rapports emboîtés s’enchaînent dans un lent cheminement. Benjamin Millepied s’amuse avec la musique de Bach dans Sarabande, pièce chorale et fluide pas désagréable. Enfin Steptext de William Forsythe est une leçon de danse magistrale. Voilà au final trois pièces fortes intéressantes, mais les habitué.e.s ont de quoi se lasser.
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Du 1er au 4 février au Radiant-Bellevue et le 21 février au Théâtre du Port Nord de Chalon-sur-Saône
Quintette de Jann Gallois
Chez Danses avec la plume, on aime beaucoup la jeune chorégraphe sensible et surdouée Jann Gallois, repérée à Suresnes cités danse. Pour son passage à la Maison de la Danse, Jann Gallois présente Quintette, création hip hop qui met en jeu les possibilités d’union et de désunion de cinq corps. « Que ce soit au sein du couple ou à l’échelle des nations, l’union et la séparation semblent obéir à un cycle sans fin« , explique la chorégraphe.
Du 28 février au 1er mars à l’Espace Albert Camus de Bron
LAC de Jean-Christophe Maillot par les Ballets de Monte-Carlo
Quel-le chorégraphe n’a pas rêvé un jour de revisiter Le Lac des Cygnes ? Tout est dit de la danse dans ce ballet, notamment le deuxième acte élevé au rang de chef-d’oeuvre total. Mais tout chef-d’oeuvre appelle justement à être bousculé. Jean-Christophe Maillot s’est à son tour jeté dans cet étrange exercice. Le résultat donne LAC, un ballet exubérant, conçu sur-mesure pour sa troupe, riche en idées et ingéniosités. Pas de révélation, pas de chamboulement du mythe Lac des Cygnes, mais un spectacle diablement séduisant, où les peurs enfantines sont exposées dans un déferlement de danse et de musique.
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Les 9 et 10 février à l’Opéra de Saint-Etienne
Hope Hunt & The Ascension into Lazarus d’Oona Doherty
Oona Doherty est une jeune artiste irlandaise, en résidence à la Maison de la Danse avant la Biennale 2018. Elle présente dans ce spectacle deux pièces en cours de création. Hope Hunt relève autant du théâtre physique que de la proclamation sociale ou de la danse. À partir d’une enquête minutieuse, la chorégraphe-interprète s’est inspirée des mots et des attitudes corporelles des jeunes exclus de Belfast pour composer une performance saisissante dans laquelle elle incarne plusieurs stéréotypes de la masculinité. Dans L’Ascension de Lazare, la musique religieuse se mêle sur scène à l’argot irlandais. Oona Doherty propose une renaissance de son personnage, comme une résurrection, une vision puissante de l’aventure humaine et de l’appel de la spiritualité.
Le 26 février à la Maison de la Danse
Les spectacles de danse dans le Nord
La Belle au bois dormant de Jean-Guillaume Bart – Yacobson Ballet
Oublié pendant des années, le Yacobson Ballet de Saint-Pétersbourg reprend vie depuis quelques années, sous la direction d’Andrian Fadeev. Le dernier défi de la compagnie : remonter un Belle au bois dormant de qualité, un sacré pari pour une troupe d’une soixantaine d’artistes seulement. Le projet a été confié à Jean-Guillaume Bart, Étoile de l’Opéra de Paris et amoureux de la danse classique qui sait rester juste. Loin de se lancer dans une grosse production qui n’aurait pas été possible pour la compagnie, le chorégraphe propose une Belle au bois dormant qui se soucie d’abord de la cohérence de la danse comme des personnages, tout en jouant sur l’univers du conte.
Lire l’interview de Jean-Guillaume Bart
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Les 21 et 22 février à l’Espace Jean Legendre de Compiègne – Spectacle avec orchestre
Les spectacles de danse dans l’Est
Les Beaux dormants de Hélène Blackburn par le Ballet du Rhin
La création de la saison du Ballet du Rhin est destinée au jeune public, même si toute la famille devrait y trouver son compte. Les Beaux dormants est la première chorégraphie d’une série conçue à partir d’un conte, genre littéraire si prisé des deux côtés du Rhin. La chorégraphe Hélène Blackburn est fascinée par l’irruption de l’adolescence chez les enfants, par ce rite de passage douloureux qui mène vers l’âge adulte. Pour cette création pour neuf artistes, la chorégraphe s’est librement inspirée de La Belle au bois dormant de Tchaïkovski. Le langage chorégraphique des Beaux dormants s’appuie sur le vocabulaire classique, avec notamment l’utilisation des pointes.
Du 22 au 24 février à La Sinne de Mulhouse
Chaplin de Mario Schröder par le Ballet du Rhin
La saison s’inspire de sa voisine allemande, avec l’entrée au répertoire de Chaplin de Mario Schröder, créé pour le Leipziger Ballet en 2010. Ballet narratif sur la vie du célèbre cinéaste permettant de faire danser toute la troupe (le ballet interprété par 32 artistes), Chaplin fait revivre des épisodes emblématiques de la vie de cet acteur et créateur, un parcours semé d’embûches jusqu’à la reconnaissance de Hollywood, et une oeuvre qui donne à voir avec lucidité les dérives du monde moderne.
Lire l’interview de Céline Nunigé, danseuse au Ballet du Rhin, sur le rôle de Charlot
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Du 2 au 4 février à La Filature de Mulhouse
Les spectacles de danse dans le Sud-Ouest
La Place de la danse
Le festival de La Place de la Danse s’installe chaque hiver à Toulouse. Résolument éclectique, le programme s’attache à refléter la diversité de la création chorégraphique contemporaine, avec 16 compagnies qui proposent 32 représentations, dansées dans sept lieux de Toulouse. Au programme en 2018 : Samuel Mathieu qui mélange cirque et danse, le hip hop de Pierre Rigal, Mathilde Monnier ou Christian Rizzo.
Jusqu’au 10 février à Toulouse
Les spectacles de danse dans le Sud-Est
Roméo et Juliette d’Angelin Preljocaj par le Ballet Preljocaj
Angelin Preljocaj, le plus célèbre des chorégraphes français contemporains, reprend sa version de Roméo et Juliette qu’il avait créée en 1990 pour le Ballet de l’Opéra de Lyon, avant de l’intégrer au répertoire de sa compagnie en 1996. S’il décale quelque peu le propos, il reste fidèle à la trame de l’œuvre et à son esprit, notamment en s’appuyant sur la partition originale de Sergueï Prokofiev dans une version numérisée par Goran Vejvoda. Mais Angelin Prejlocaj s’affranchit de l’histoire des amants de Vérone et de la rivalité entre les Capulet et les Montaigu pour transposer ce drame dans un futur non daté, post-catastrophe où une classe dominante fait régner la terreur et impose sa loi.
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Du 14 au 18 février à La Criée de Marseille
Les spectacles de danse dans l’Ouest
Nouvelles pièces courtes de Philippe Decouflé
Retour aux sources pour Philippe Decouflé. Après la grandeur de Broadway et du Cirque du Soleil pour qui il a créé une comédie musicale, le chorégraphe propose pour sa prochaine création une succession de pièces courtes. Duos, solos et groupe, portent cette nouvelle création où se mêlent, comme d’habitude chez Philippe Decouflé, des danseur.se.s, acrobates et musicien.ne.s d’univers différents. Un beau spectacle pour ce chorégraphe habitué du Théâtre de Chaillot et dont il devient le nouvel artiste associé.
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Lire l’interview de Philippe Decouflé sur Nouvelles pièces courtes
Du 14 au 17 février au Quartz de Brest